Un premier chapitre qui fera plus office de mise en bouche et définira le ton. Tout commença par un bel après-midi du mois de septembre. J’étais tranquillement assis chez mon père, les yeux rivés sur mon ordinateur. Ce dernier avait voyagé plusieurs semaines auparavant avec mes frères, me laissant ainsi seul à la maison. Un mec normal aurait bien sûr profité d’une telle situation en organisant des fêtes ou autre. Mais moi, je préférais le calme que cela me procurait. Il m’arrivait même d’y faire le ménage certaines fois, ce qui étonnait un peu ma voisine du dessus.
Il devait être environ seize heures quand je reçus un message texte de mon amie Helene me demandant où je me trouvais. Je lui répondis que j’étais chez mon paternel et celle-ci me dit par la suite qu’elle arrivait chez moi. Ce n’était pas la première fois qu’elle me rendait visite mais c’était la première fois qu’elle me prévenait. Habituellement, elle se servait de ma voisine qui était également son amie pour savoir si oui ou non j’étais présent. Je me souvenais encore de notre dernier rencontre qui eut lieu une semaine auparavant. Cette dernière était venue prendre une douche chez moi. Je ne sais toujours pas ce qui m’avait pris ce jour-là mais je n’avais pu m’empêcher d’aller frapper à la porte de la salle de bain. Et sans même se faire prier, Helene m’ouvrit la porte, se dévoilant complètement par la même occasion. Du haut de son mètre soixante, je découvris une jeune et jolie jeune femme couleur ébène et pourvue de généreuses formes. Dans cette situation, j’avais l’opportunité de lui faire tout ce qui me passait par la tête, rien ni personne ne pouvait m’en empêcher. Son corps recouvert entièrement de savon ne demandait qu’à être entretenu par des mains d’expert. Mais en bon gentil garçon que je fus à ce moment, je lui tournai le dos et retourna me mettre sur mon ordinateur portable que j’avais laissé au salon. Quel beau souvenir !
Une quinzaine de minutes après son appel, j’entends quelqu’un frapper à ma porte. J’invitai celle-ci à entrer. La belle demoiselle qui se trouvait devant était vêtue d’une robe toute blanche. On pouvait aisément deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge grâce aux formes de ses tétons qui apparaissaient à travers le vêtement. Elle avait également avec son sac à dos dans lequel elle trimballait ses cahiers et manuels scolaires. Dès que je vis qu’elle en sortit son ordinateur portable, je compris immédiatement que le but de sa visite devait être en rapport avec son appareil. En effet, juste après l’avoir posé sur le canapé, elle me demanda si je pouvais l’aider à le paramétrer correctement. Bien sûr, je n’avais aucune raison de refuser. C’est donc avec plaisir que j’acceptai sa requête, ce qui la fit sourire. Helene me passa alors son appareil puis prit le chargeur dans son sac avant de venir le brancher sur le secteur. Cependant, le geste qu’elle exécuta ne me laissa pas indifférente. En effet, quand elle courba afin d’insérer le bout du chargeur dans la prise, la position dans laquelle elle se trouva mit en valeur ses grosses fesses. Le petit soldat ne se mit bien sûr pas au garde à vous, mais je sentis tout de même qu’il serait prêt à agir au moindre faux mouvement de sa part. Je me mis donc au travail et commençai à lui installer divers logiciels de programmation tels que Notepad , la meilleure visionneuse de fichiers multimédia, une tonne de mises à jour, le tout assorti avec une analyse complète pour détecter et éliminer d’éventuels virus.
Pendant que j’effectuais ma tâche, la jeune demoiselle lisait tout d’abord ses cours. Mais voyant que cela devait vite ennuyeux, surtout avec moi ne faisant aucun bruit, elle saisit la télécommande de la box canal et celle de la télévision puis mis Trace TV. Au tout début, le fait que de la musique résonne dans toute la pièce ne me dérangeait. Tout changea du tout au tout quand Helene se leva, remonta sa robe de telle sorte que l’on pouvait aisément voir le haut de ses cuisses, puis commencer à danser. Ce n’était pas la première fois que je vois une fille twerker; plusieurs de mes amies avaient l’habitude de le faire au lycée durant nos moments délires; mais c’était complètement différent cette fois-ci. Voir son énorme fessier bouger au rythme de la musique réussit à me perturber dans mon travail. Mes yeux avaient désormais du mal à rester rivés sur l’écran. Une seule chose me vint en tête à ce moment : aller la rejoindre et profiter de l’instant présent car, comme le disait toujours mon professeur, un gentleman ne doit jamais laisser une demoiselle se tortiller seule sur la piste de danse. Je finis mon travail une dizaine de minutes après qu’elle se mit à danser. Par conséquent, je déposai son ordinateur sur le second canapé, puis je me remis sur le mien pour continuer à suivre mes séries.
Alors que j’étais tranquillement entrain de suivre mon épisode de Blacklist, usant mon casque pour ne pas être dérangé par le bruit de la télé, Helene m’interrompit en me demandant de la filmer pendant qu’elle exécutait des pas de danse. J’acceptai bien évidemment car je savais qu’elle m’embêterait énormément dans le cas contraire. Elle me donna donc son Samsung Galaxy J7 qu’elle déverrouilla au préalable, puis se remit devant l’écran plat. Je lui donnai le signal et celle-ci commença à se trémousser. Une minute plus tard, j’arrêtai l’enregistrement et lui redonnai son téléphone. Elle visionna la vidéo et la posta juste après sur Instagram ou un autre réseau social similaire. Elle me demanda à nouveau de prendre une autre vidéo, ce que je fis. La jeune femme la publia à nouveau puis vint finalement s’asseoir juste à côté de moi.
Alors que je venais de remettre mon casque sur la tête et m’apprêtais à relancer mon épisode, Helene me questionna au sujet d’un phénomène qu’elle remarqua à mon sujet. Effectivement, elle voulut savoir pourquoi, contrairement à certains de mes amis, elle ne m’avait jamais vu danser. Je pris alors un air très sérieux, beaucoup plus sérieux que celui que j’avais durant mon visionnage, et je lui répondis que je trouvais cela tout simplement inutile, qu’un simple mouvement de la tête suffisait à exprimer mon appréciation vis-à-vis d’une musique. À cet instant précis, tout dégénéra. À vrai dire, tout partit littéralement en couille. Helene me demanda de lui faire un bisou sur la joue, chose que je refusai au tout début. Mais voyant qu’elle ne faisait qu’insister, je me laissai prendre au jeu et lui donnai ce qu’elle demandait. Je posai donc mes lèvres sur sa joue de manière très brève. Insatisfaite de ce qu’elle appela un bisou sans âme, elle voulut que je le refasse, mais cette fois-ci sur son épaule. Je m’y appliquai donc, ne voulant qu’une chose, retourner vaquer à mes occupations car en effet, le travail que j’avais effectué, associé à mon manque de sommeil me privèrent petit à petit de tout instinct pervers. Ayant remarqué que ses précédentes requêtes n’eurent pas l’effet escompté, la jeune femme poussa le vice un peu plus loin. Elle commença tout d’abord par retirer une de ses épaulières, ce qui dévoila une partie de son sein gauche. Elle me demanda ensuite de l’embrasser à ce niveau mais de manière délicate. J’accomplis donc ma tâche tel un soldat en mission sans pour autant éprouver la moindre pensée déplacée à son égard. Elle finit par commettre un acte pour le moins surprenant.
Comme cité précédemment, le geste que Helene commit juste après resta gravé dans ma mémoire. Voyant sûrement que je ne réagissais pas comme elle l’avait prévu, cette dernière passa aux choses sérieuses. Celle-ci s’assit sur moi et recommença à se trémousser. Dans mon état normal, le fait de ressentir son énorme fessier bouger juste au-dessus de mes parties intimes m’aurait fait réagir au quart de tour. Heureusement pour moi, la fatigue eut raison de moi. J’essayai donc de lui échapper mais cela fut peine perdue. Et sans trop savoir ce qui était en train de se passer, je me retrouvai plaqué contre le canapé, les deux jambes en l’air et écartées tandis qu’elle simulait des mouvements de va et vient. Cela dura plusieurs minutes avant que celle-ci décide enfin de se calmer. Elle me dit alors que j’étais un mec bien, que beaucoup aurait sans aucun doute profité de la situation.
Helene prit son téléphone et constata qu’il commençait à se faire tard. Parce qu’avant son arrivée j’avais complètement fermé portes et fenêtres, nous n’avions pas remarqué que trois heures s’étaient écoulées. Elle débrancha donc son ordinateur et rangea le tout dans son sac. Je finis donc par la raccompagner avant de la regarder s’éloigner progressivement. Je retournai donc à la maison du paternel en évitant de courant sur le retour, la pente y menant étant plutôt conséquente, puis je repris mes activités pendant une bonne heure et demie.
Aux alentours de 21h, j’éteignis la télévision, rangeai mes affaires, arrêta les lumières et refermai la maison derrière moi en prenant soin de vérifier que tout était convenablement verrouillé avant. Je regagnait mon véhicule garé non loin, mis le contact, sélectionnai une musique assez entraînant; de préférence du Mord Fustang; puis rentrai calmement chez moi. Le lendemain allait à nouveau être une journée de détente.
Hop ! Hop ! Hop ! Tu pensais que l’histoire s’arrêtait là ! Il va sans dire que je n’étais vraiment pas dans une forme olympique ce jour-là. Mais voici la comment cela s’est vraiment passe. Donc, dès l’instant où elle s’était assise sur moi, j’aurais délicatement passé mes mains au niveau de son ventre puis je serais remonté jusqu’à ses seins. Là je les aurais délicatement caressés pendant quelques minutes avant de me lever, la retourner et la regarder intensément dans les yeux. Mes lèvres s’approchant des siennes, nous nous serions langoureusement embrassés. Profitant de l’absence de tout témoin oculaire et de cet échange, j’en profitai pour passer ma main droite sous sa robe blanche. J’interrompus alors notre baiser pour commencer à lui en faire plusieurs dans le coup, cela allait la détendre énormément et la préparer pour les événements à venir.
Lentement mais sûrement, je glissai ma main dans sa petite culotte, et comme je m’y attendais, sa partie intime était bien rasée. Je m’arrêtai donc au niveau de son clitoris et commençai doucement à le caresser. La sensation de plaisir qu’elle eut se manifesta assez rapidement. En effet, Helene commença tout d’abord par serrer fortement mon bras. Elle se mordilla les lèvres par la suite; et enfin, celle-ci émit un léger gémissement que je trouvai assez mignon. Du côté de la zone de combat, de la chaleur pouvait se faire sentir alors que la véritable bataille n’avait pas encore commencé. Je repartis donc sur une très longue série de bisous dans son cou avant de revenir l’embrasser au niveau de la bouche. J’en profitai pour aller un peu plus loin dans sa petite culotte en mettant mon doigt pile poils à l’entrée de son vagin. Grâce aux mouvements de rotation que je faisais avec mon petit doigt, la jeune femme commençait à mouiller. Cela me donna le signal pour l’introduction de mon majeur. L’intérieur chaud et humide facilitait grandement les va et vient de mon doigt. Je retirai ma main de sa petite culotte et lui présentai mon majeur qu’elle suça allègrement. Nous nous isolions donc dans la chambre de mon démon de petit frère où, vous le devinez, des choses torrides se dérouleront.
À suivre !!!