Une visite impromptue 03

Il était désormais temps que je cède à un de mes fantasmes. La demoiselle et moi nous levâmes donc et nous plaçâmes à un des bords du lit. Elle se penchant ensuite vers l’avant tandis que j’en profitai pour la pénétrer à nous. Nous partîmes sur un doggy style pendant plusieurs minutes. Je lui donnai de nombreuses claques sur ses fesses, ce qui fit pousser des gémissements à Hélène. Un moment donné, sûrement à cause de tous les efforts que nous fournissions, la température de la chambre augmenta. Je cherchai du regard la télécommande de la clim. Celle-ci se trouvait sur l’un des chevets. Je retirai donc mon pénis de son vagin, partis récupérer la télécommande et activai la climatisation. Une fois l’appareil activé, je revins introduire ma bite avec force dans sa chatte. Alors que je faisais des va et vient en elle, j’utilisais mes mains pour écarter ses grosses fesses afin de bien mettre en évidence son anus. J’humidifiai un peu mon index avant de l’enfoncer lentement dans son cul. Hélène me demanda d’arrêter mais je lui dis de se détendre, que tout irait pour le mieux. À mesure que mon doigt gagnait en profondeur, la jeune femme se plaignait de la douleur. Je le retirai donc, puis repartis de plus bel avec mon majeur. Cela ne lui plut vraisemblablement pas et elle me le fit savoir en retirant à la fois mon doigt et mon pénis. À mon grand étonnement, mes doigts étaient très propres. Cela témoignait de la manière dont elle prenait soin d’elle.

Le problème qui se posait désormais était le fait qu’Helene refusait de se faire pénétrer son bon gros cul et me laissait avec une érection insatisfaite. Nous commençâmes donc à parler pour savoir ce qui n’allait pas. Elle me dit alors que ce que je venais de faire lui avait fait mal, qu’elle savait ce que j’avais en tête, et que ce trou n’était pas fait pour ce genre de choses. J’écoutai tous ses propos même si je ne conservais qu’une seule idée en tête: jouir dans son cul. Je lui répondis donc que c’était l’occasion pour elle de découvrir les véritables joies du sexe. Hélène hésita tout de même mais, face à l’éloquence de mes propos, elle finit par céder au bout d’une dizaine de minutes.
La jeune femme saisit mon membre qui avait perdu de sa tonicité. Elle commença à le sucer et le lécher, le tout en me malaxant les couilles. Et après cinq minutes de travaux manuels, here it is, your rival back again and ready to go in. Hélène se retourna alors, se pencha en avant et me présenta son beau gros cul. C’est donc avec un immense sourire aux lèvres que j’approchai mon gland de son trou du cul. J’usais de ma main gauche pour bien mettre en évidence son anus tandis qu’avec mon autre main, je venais toquer à l’entrée. Millimètre par millimètre, je réussis à introduire la tête, et ce malgré ses cris de douleur. Pour la réconforter, je lui dis non seulement de se détendre, qu’après un certain moment elle y éprouverait du plaisir, mais également que si la tête avait réussi à entrer, le reste irait comme un couteau dans du beurre.

L’intérieur du cul d’Hélène était comme on pouvait s’y attendre, chaud et serré as fuck. Je n’étais qu’au tout début de ma pénétration que j’éprouvais déjà un certain plaisir. J’attrapai donc la demoiselle au niveau de ses hanches puis la tirai vers moi. Centimètre par centimètre, ma bite rentrait au plus profond d’elle. Afin de ne pas alerter les voisins du dessus, celle-ci mordit fortement l’oreiller se trouvant en face d’elle et agrippa également les draps. Alors que je venais à peine de faire rentrer la moitié de ma bite, Hélène me supplia d’arrêter, prétextant que cela lui faisait extrêmement mal. Je voulus donc tout arrêter. Mais en voyant ses larmes, mon côté sadique prit le dessus. En plus, je savais pertinemment que si j’arrêtais maintenant, je n’aurais jamais plus eu l’occasion de l’enculer à nouveau. J’introduisis finalement les centimètres restants jusqu’à ce que ses fesses soient collées à mon bassin.

La sensation était très différente par rapport à son vagin. Étant très étroit, son cul comprimait mon pénis comme jamais. J’expliquai donc à Hélène que je m’apprêtais à bouger, ce que je fis par la suite. Je sortis tout en douceur la moitié de mon engin puis l’enfonçai à nouveau en totalité. Je répétai délicatement l’opération pendant environ trois minutes, le temps qu’elle s’en accommode un peu. Une fois ce délai passé, j’accélérai le rythme sans pour autant être trop agressif. Petit à petit, les pleurs de la demoiselle laissèrent place à de petits gémissements. Comme cette dernière semblait commencer à s’habituer à ce que je lui faisais, je lui donnai plus gifles sur ses fesses suivi d’un puissant coup de bite qui la fit hurler.

Cela faisait déjà trop longtemps que nous étions en doggy style. Il était donc temps de changer de position. Nous nous débrouillâmes donc pour que je monte sur le lit sans que ma bite ne quitte son cul, puis nous nous couchâmes sur le ventre. Je parvins à utiliser mes mains pour lui malaxer le sein gauche et stimuler son clitoris, le tout en continuant mes mouvements de va et vient. Je lui donnai de nombreux bisous dans le cou, puis nous échangeâmes des baisers. C’était bon, je dirais même excellent. Elle et moi ne faisions qu’un et tout allait pour le mieux. J’espérais même que ce moment ne s’arrête jamais.

Cela faisait déjà un moment que je la sodomisais délicatement. Il était donc temps pour elle de ressentir toute l’intensité d’une pénétration anale. J’accélérais et intensifiais donc le mouvement et, à chacun de mes coups, un cris de douleur émanait de la bouche d’Hélène. Je me redressai en prenant appui sur elle, puis je la chevauchai brutalement. Plus de cris était ce que je voulais. Plus elle hurlait de douleur et plus j’étais excité. Je retirai brièvement mon pénis de son cul, le temps pour celle-ci de se mettre sur le dos. Une fois fait, j’écartai ses jambes puis je repartis de plus bel. De là où je me trouvais, la vue était magnifique. 

Les seins d’Hélène se balançant au rythme de mes coups de bites et son visage empli d’un mélange de douleur et de plaisir furent des images qui allaient rester graver en moi pendant très longtemps. C’était bon, tellement bon que je me doutais que la sauce n’allait pas tarder à venir. Je lâchai donc ses jambes et me couchai sur elle. Je plaçai mes mains de part et d’autre de son visage et commençai à l’embrasser. Les mouvements de bassin s’accélérèrent. Ma bite se gorgea d’un surplus de sang, preuve d’une évacuation prochaine. En un instant, je me cambrais et expulsais le tout dans son cul. Vu la manière dont je m’étais brutalement arrêté, Hélène sut et sentit que j’étais en train de la remplir. Une fois le bon liquide complètement évacué, je refis quelques mouvements de va et vient avant de retirer mon pénis de son anus et de me relever. La jeune femme resta quelques instants immobile, réalisant ce qui venait de se produire. Pendant ce temps, je la regardais et la simple vue du sperme dégoulinant de son postérieure me donna une autre érection. Je décidai donc de lui donner un cadeau supplémentaire. Debout au-dessus d’elle, je me masturbais jusqu’à ma seconde éjaculation. La quantité était bien sûr moins importante que la précédente, mais ce fut amplement suffisant atterrir sur ses seins et son ventre.

Couchée à mes côtés, Hélène semblait pensive. Elle regarda le plafond un long moment sans dire le moindre mot. Ensuite, celle-ci se retourna vers moi et, sans que je m’y attende, m’embrassa puis m’invita à prendre une douche avec elle. Il était bien évidemment hors de question pour moi de refuser une telle offre. C’est donc ainsi que nous prîmes la direction de la salle de bain.

À l’intérieur, nous continuions à nous embrasser tandis que nous nettoyions chacun le corps de l’autre. Un moment, Hélène se mit à genoux devant moi et commença à frotter du savon sur mon pénis. Après l’avoir bien poli pendant deux minutes, elle le rinça avant de le mettre à nouveau dans sa bouche. En un rien de temps, le soldat était à nouveau prêt à partir en guerre. Cette dernière le prit dans sa main, se releva, et m’entraîna avec elle dans un coin de la pièce. Là, elle passa son bras autour de mon cou, souleva sa jambe, puis conduisit ma bite à l’entrée de sa chatte. C’était reparti pour un second round; un troisième dans mon cas. Une certaine gêne s’était désormais installée à la suite de mes deux précédents tirs. Heureusement, rien de trop douloureux pour m’empêcher de la sauter à nouveau. Dû aux risques de chute, j’évitai donc la soulever. Au bout de cinq ou six minutes, Hélène se retourna, se pencha en avant, et me présenta à nouveau son cul. Cette fois, ce fut elle qui m’invita à y entrer. Je ne me fis pas prier et m’exécutai. Je la sodomisais donc plus fort et plus vite. Je prenais même certaines pauses pour admirer le charmant trou qui s’était formé. Pour finir, ce ne fut pas moins de 45 min que nous avions passé dans la salle de bain.

Lorsque nous sortîmes de là, nous retournâmes dans la chambre où se trouvaient nos vêtements. Nous les enfilâmes illico presto et nous dirigeâmes au salon. Dans la foulée, je récupérai mon téléphone portable sous l’oreiller. En vérifiant l’heure, je me rendis compte qu’il était plus de 20h et que cela faisait près de quatre heures que nous nous amusions. 
Il était temps pour la charmante Hélène de rentrer chez elle. Elle récupéra donc son ordinateur, son chargeur, et ses cahiers qu’elle remit dans son sac à dos. Elle n’oublia pas également de prendre son téléphone avant de sortir de la maison. Je la suivis à l’extérieur, puis fermai la porte à clé avant de la raccompagner. La voisine du dessus, qui était également une de ses amies, nous aperçut et ne put s’empêcher d’émettre un commentaire. Je savais pertinemment qu’elle allait me poser une série de questions à mon retour, mais je n’y prêtais guère attention pour l’instant.


Sur le trajet la menant chez elle, Hélène me complimenta en me disant que c’était la première fois qu’elle faisait ce genre de truc, qu’elle avait encore mal au cul mais qu’elle avait aimé se faire sodomiser vers la fin. Avant que l’on ne se sépare définitivement, cette dernière me demanda si j’allais revenir chez mon père le lendemain. Je lui répondit oui, que j’avais certaines choses à faire ici. Elle me fit une bise sur la joue, en profita pour toucher discrètement ma bite, puis rentra chez elle. De mon côté, je retournai chez mon père pour ranger mes affaires. Arrivé sur les lieux, la voisine m’attendait pour que je lui donne des détails. Je ne pus répondre à sa requête, prétextant être très fatigué; ce qui s’avérait être vrai. À mes propos, celle-ci comprit immédiatement ce qui s’était passé et commença alors à me taquiner. Mais étant très épuisé, je ne pouvais riposter.


Toutes mes affaires emballées, je vérifiais une dernière fois si je n’avais rien oublier d’éteindre ou de fermer, ensuite je sortis de la maison, fermai la porte à double tour, et me dirigea vers ma voiture. Je démarrai le véhicule, puis rentrai chez moi en conduisant doucement. Quinze minutes plus tard, j’étais sur mon lit, les yeux fermés et me dirigeant lentement vers le monde des rêves. Demain allait sûrement être une autre magnifique journée.

FIN

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