Une soirée qui tourne au drame 01

Pierre était un jeune homme célibataire, âgé environ d’une vingtaine d’année, de teint métissé, élégant par ses vêtements,un corps imposant, une barbe d’une semaine et une chevelure frisée. Résident dans un petit bâtiment non loin de la pharmacie de la paix sur la rue 47 de la Fausse. Ne travaillant pas, il avait comme passion les balades et sorties entre copains.

Un soir, pendant qu’il pleuvait, il voulu se rendre dans une soirée organisée par une jeune dame du nom de Josiane. Ainsi, ne pouvant pas sortir de chez lui, car n’ayant point de parapluie, il appela un taxi qui vint le chercher, ne voulant pas rater cette soirée pour rien au monde. Il prît le taxi, arriva proche de la maison de Josiane, il l’appela sur son portable, elle sortît le prendre et le conduisit à l’intérieur de la maison dans une pièce où il s’essuya afin de paraître bien devant les autres invités à la fête.

Cette soirée était pour lui une occasion de se faire des jolies filles ne pouvant pas tenir l’alcool. La soirée était embuantes, remplie d’alcool, de belles filles et une musique qui mettait les invités dans une atmosphère dansante. Chaque homme était avec une fille histoire de se connaître, d’autres se caressant, s’embrassant tout cela dans une humeur festive.

Mais, ne s’attendant pas à ce qui allait arrivé, il fut surpris par l’avènement des choses qui arrivèrent au cours de cette soirée, qui au départ s’annonçait époustouflante et qui finira au drame. En effet, le corps d’une jeune fille était allongé sur le sol baignant dans son sang, cette jeune fille qui auparavant était dans les bras du jeune célibataire Pierre. Trouvé dans une pièce par une autre participante à la fête, qui ayant vu ce corps sans vie s’écria de toutes ses forces à l’aide! à l’aide, venez m’aider, venez m’aider!

Les gens accoururent vers la voix qui demandait de l’aide, et trouvèrent eux aussi, cette jeune dame baignant dans une marre de sang. Remplis de stupeur et tremblant, ils appelèrent immédiatement la police afin de trouver le coupable de cet acte horrible. Pierre, était présent, rempli par l’émotion, fondit en larme car voyant la fille avec qui, il comptait finir la nuit chez lui , sans vie.

Quelques minutes plus tard, une patrouille policière d’environ trois policiers arriva sur les lieux de l’incident, ils entrèrent et constatant les faits se mirent à questionner tout le monde. Récoltant le témoignage de tout un chacun, arriva autour de Pierre qui était toujours en larme. L’un des policiers, lui posa la question: nous avons appris que t’es la dernière personne à parler à cette jeune fille, peux-tu nous dire ce qui s’est passé après votre échange? Pierre, craignant qu’on eut dire du mal de lui aux policiers, devînt colérique et distant face aux questions des policiers. Or, c’était là peut-être un moyen pour lui de se justifier sereinement, sans colère mais avec coopération.

Comme, étant le dernier individu à être avec la jeune dame et le principal suspect, la police le saisit pour une interrogation approfondie au commissariat. Malheureusement, il était tard pour un interrogatoire, il passa la nuit dans une cellule pour répondre aux questions tôt dans la matinée. Pierre passa toute la nuit éveillé car ne comprenant pas ce qui lui arrivait, se mit à crier je suis innocent! Ce n’est pas moi le coupable de ce meurtre! Mais la police ne l’entendit guère de cette oreille.

Le lendemain matin, à 8 heures la police arriva, prît Pierre et l’interrogea dans une pièce fermée avec un miroir où seules personnes de l’extérieur de la pièce pouvaient voir ceux qui sont à l’intérieur de la pièce. L’interrogatoire fût de 3 heures de temps, mais sans suite car le jeune célibataire ne reconnaissait toujours pas les faits qui lui étaient accusés, les policiers décidèrent de procéder à une investigation plus approfondie.

Tout à coup arriva Josiane la propriétaire de la maison où a eu lieu la fameuse soirée, demandant le chef de police du commissariat. La dame à l’accueil l’indiqua où se trouvait le bureau du commissaire, quand elle le vit, lui donna une enveloppe dans lequel se trouvait ce qui allait sauvé ou ruiné la vie de Pierre.

Heureusement, ce qui se trouvait dans l’enveloppe qu’avait remis la jeune dame allait être pour Pierre un soulagement . Car, Josiane, ayant eut auparavant la malice d’acheter et placer des caméras dans maison aida son amis à être disculpé. Ces vidéosurveillance, qui, placées dans certaines pièces de la maison permissent aux policiers de boucler l’affaire plus rapidement qu’ils y attendaient. Il se trouva que la pièce où avait été retrouvé la jeune fille baignant dans son propre sang était surveillée par une caméra fixée entre la jointure de deux murs.

Ayant visionné la cassette remise par Josiane, le commissaire de la police vit sur ces images que celui qui fût inculpé était innocent comme il le criait toute la nuit. Ils virent le véritable meurtrier, qui , ne sachant pas qu’ils avaient des prévient contre lui se pavanait en toute liberté dans son domicile, jouant même avant son fils âgé de cinq ans sans remords. Ainsi, sachant que Pierre était disculpé, il envoya un policier libérer Pierre, ce dernier reçu des excuses de la part du commissaire car ayant effectué une erreur il se devait de le faire.

Tout heureux pour le recouvrement de la liberté, car s’imaginant déjà d’avoir gâché sa vie, Pierre rentra chez lui. Une fois dehors un agent de police lui annonça qu’une jeune dame avait remis une enveloppe dans laquelle s’est trouvée une cassette qui permit à ce qu’il soit innocenté, et qu’elle répondait au nom de Josiane. Pierre, tout joyeux par l’acte manifesté par son amie alla chez elle pour lui remerciée. Tandis qu’il se dirigeait vers le domicile de Josiane, le commissaire regroupa ses troupes afin de procéder à l’arrestation du véritable coupable qui n’était tout autre que Jimmy.

Jimmy restait à deux kilomètres du domicile où il eut le meurtre, jouant tranquillement avec son jeune fils de cinq ans dans son domicile, il ne se douta point des avancées de l’enquête car se disant qu’il n’y avait pas de preuve qui pouvait remonter à lui et que Pierre sera inculpé à sa place. Il fut étonné, quand il vînt au loin une patrouille policière s’approcher de son domicile, il voulut s’enfuir par la porte arrière de sa maison. Sa conscience l’interpellant, il savait qu’ils étaient là pour lui. En effet sachant clairement l’acte qu’il commit un jour avant, peut se panique et se dirigea vers la sortie arrière laissant son fils de cinq ans.

Mais, étant déjà encerclé par la police il fut arrêté net devant sa porte et emmené au commissariat où il finit par avouer être le responsable du meurtre de la jeune dame. Il dit toute la vérité, en révélant que comme la défunte refusait de lui donner ce qu’il voulait, qu’il l’avait frappé sévèrement sur l’arrière du crâne avec un vase qu’il avait aussitôt jeté par la fenêtre. Après son témoignage , il fut jugé par le procureur général de la ville et prit une condamnation allant jusqu’à trente années d’emprisonnement ferme.

Un mois plus tard, après avoir passé des nuits blanches à cause de cette soirée qui finit au drame et revenus à lui-même, Pierre décida de changer et de se prendre en main. Il trouva un emploi à vingt-cinq kilomètres de la ville histoire de plus penser à ce lieu qui changea sa vie. Il se mît à écrire de temps en temps, surtout lorsqu’il avait du temps libre car son nouveau mode de vie n’était plus celui qui avait avant l’incident, celui de rien faire de sa vie. Deux ans après, il rencontra Elisabeth âgée de vingt-quatre ans avec qui il eut une magnifique petite fille .

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