Le calvaire de Betty Cooper 1/2

Toronto, Ontario, Canada. Il était aux alentours de 15 heures lorsque toute l’équipe de la série Riverdale acheva le tournage de l’épisode hebdomadaire. Alors que les cadreurs et autres membres rangeaient le matériel, les acteurs de l’un des programmes les plus appréciés chez les adolescents retiraient leur maquillage.

  • Dites, ça vous dirait que l’on se fasse un resto pour décompresser ? proposa soudainement Archie Andrew aux autres.
  • Désolée, j’ai déjà quelque chose de prévu, répondit Camela, l’actrice incarnant le rôle de Veronica.
  • Pareil pour moi. J’ai déjà un rendez-vous très important, rétorqua Madelaine, celle donnant ses traits au personnage de Cheryl.

Au final, de tous les jeunes acteurs et actrices qui composaient le casting de la série, seuls Jughead Jones et Betty Cooper acceptèrent la proposition d’Archie, n’ayant rien de très important à faire après.

Il fallut un certain aux trois amis pour retirer leur maquillage et se rendre sur le parking de la CW où se situaient leurs véhicules.

  • Au fait, qui conduit et on va où ? demanda Betty aux deux garçons devant leurs trois voitures.
  • Au Miku Toronto. C’est un restaurant situé par très loin d’ici qui fait d’excellent sushis. Maintenant concernant le transport, ce serait cool si on y allait tous ensembles au lieu de s’y rendre séparément, rétorqua le rouquin.

Après avoir écouté son ami roux, Jughead se proposa alors de leur servir de chauffeur maintenant que leur destination avait été décidée. Le trio monta donc dans la voiture du jeune homme et mit le cap vers le fameux restaurant de sushi.

Pendant le trajet, Andrews appela l’établissement afin de confirmer sa réservation et leur dire de changer le nombre de places prévues.

  • Allez, avoue ! Tu avais déjà prévu de nous inviter dans ce resto depuis le début, rétorqua la jeune blonde après avoir écouté sa conversation.
  • Ah ! Ah ! C’est vrai. J’avais vraiment besoin de décompresser après toutes ces heures de tournage. Je me suis donc dit que ce serait cool de le faire avec tout le monde, répondit-il.
  • Archie Andrews ! Toujours en train de penser aux autres, rétorqua la jeune femme en passant sa main dans ses cheveux.
  • C’est tout lui, s’exclama à son tour le conducteur du véhicule.

Les jeunes gens poursuivirent leur trajet, parlant de tout et de rien. Quelques dizaines de minutes plus tard, ils arrivèrent enfin devant le fameux restaurant. Jughead se gara en face de ce dernier où un des employés prit le relais et alla la mettre sur le parking. Pendant ce temps, Archie s’avança vers le second employé se trouvant devant la porte d’entrée.

  • Bonsoir. J’ai une réservation pour trois au nom d’Archie Andrews, lui dit-il.

L’homme, qui tenait dans ses mains une tablette, vérifia sur sa liste si le nom du jeune homme apparaissait vraiment. Après quelques secondes, il le trouva et autorisa le trio à pénétrer dans le restaurant. Un serveur vint accueillir Archie, Betty, et Jughead et les conduisit à leur table.

  • C’est plutôt sympa par ici, s’exclama monsieur Jones sur le trajet.

Le trio s’installa à l’endroit qui leur avait été réservé puis chacun attrapa le menu qui lui était proposé. Le serveur s’en alla ensuite s’occuper d’autres clients, le temps que les trois amis se décident sur ce qu’ils allaient manger.

  • Alors, vous prenez quoi ? questionna Archie.
  • J’sais vraiment pas. J’suis pas trop une adepte des sushis. Je suppose que je prendrai la même chose que toi, répondit la jeune femme blonde.
  • Ok ! dit le rouquin.
  • Moi par contre, je choisis ça, rétorqua Jughead en pointant du doigt un des items sur le menu.

Maintenant que tout le monde avait fait son choix, Andrews fit signe à un des serveurs qui vint prendre leurs commandes quelques instants plus tard. Il s’en alla par la suite la confier au chef. Pendant ce temps, le trio se mit à discuter de tout, notamment des futurs évènements qui allaient se produire dans la série. Une chose qui était assez fascinante avec eux était le fait que les relations qu’ils entretenaient dans le programme télévisé avait tendance à se manifester hors du petit écran. Ainsi, l’attirance physique que Jones et Cooper éprouvaient dans Riverdale avaient tendance à faire surface lorsqu’ils se retrouvaient tous les deux. D’ailleurs, les deux étaient même assis l’un à côté de l’autre tandis qu’Archie se trouvait en face d’eux.

Des employés du restaurant revinrent plus tard avec les plats qu’ils avaient commandés, le tout assorti de baguettes chinoises.

  • C’est la première fois que j’utilise ça, rétorqua la jeune femme en essayant de bien les positionner.
  • Attends ! Je vais te montrer comment faire, proposa le jeune Jughead.

Comme il venait de lui dire, monsieur Jones enseigna à la jeune blonde comment bien manipuler ces instruments, le tout sous le regard d’Archie. Après quelques minutes, la demoiselle parvint plus ou moins à se servir des baguettes chinoises. Elle put donc profiter du délicieux met qu’elle avait sous les yeux.

Des dizaines de minutes passèrent et le trio finit de manger leur repas. Il était désormais temps de payer l’addition. Sans surprise, ce fut Archie qui se proposa de le faire. La facture ayant été réglée, les trois jeunes gens prirent la direction de la sortie où ils attendirent, le temps que l’on vienne leur remettre leur véhicule.

  • Alors, on fait quoi maintenant ? demanda Betty qui n’avait pas envie de rentrer dans l’immédiat.
  • J’sais vraiment…
  • Et si on allait finir la soirée chez moi ? J’habite pas très loin d’ici, rétorqua Jughead.
  • J’trouve que c’est une bonne idée, dit la jeune femme.
  • Allez mec ! En plus, il n’y a rien à faire demain, déclara de nouveau monsieur Jones.
  • Bon, ok ! accepta finalement Archie.

L’employé du restaurant arriva avec la voiture de Jughead quelques minutes plus tard. Après l’avoir remercié, le trio remonta à l’intérieur et prit la direction du domicile du conducteur.

—–*—–

L’appartement de Jughead était vraiment immense, ce qui était plutôt normal vu qu’il était l’un des acteurs les mieux payés de la série. Le jeune homme invita ses amis à faire comme chez eux. Archie et Betty lui demandèrent alors s’il avait quelque chose à boire, de préférence quelque chose d’assez fort.

  • Je vois exactement où vous voulez en venir, rétorqua-t-il en allant chercher ce qu’ils voulaient.

Il revint quelques instants plus tard avec un plateau sur lequel se trouvaient trois verres et deux bouteilles d’alcool. Chacun se servit et entama un premier tour. Pendant ce temps, ils continuèrent à parler de beaucoup de choses, notamment des projets que chacun avait après la fin de la série.

La musique resonnait dans l’appartement et les jeunes gens entamèrent une seconde tournée d’alcool, puis une troisième… A mesure que l’alcool coulait à flot et plus les inhibiteurs avaient de moins en moins d’effet. Au bout des septièmes ou huitièmes verres, les choses changèrent complètement. Tandis qu’Archie se levait pour aller vider sa vessie, la tension augmentait du coté de Betty et Jughead qui échangeaient des regards assez sulfureux. Il ne fut donc pas très étonnant de voir les deux s’embrasser quelques instants plus tard.

Jughead et Betty échangeaient de longues et passionnants baisers tandis que la main du jeune homme était posée sur le cou de la demoiselle. Il la glissa ensuite progressivement vers le bas et l’inséra sous le haut de mademoiselle Cooper. Cette dernière ne portant juste qu’une brassière, il fut assez aisé au jeune homme d’accéder à ses seins. Ce fut donc avec un malin plaisir qu’il se mit à les caresser et à jouer également avec ses tétons, les pinçant, les tirant, et les tournants dans tous les sens.

  • Attends ! Attends ! s’exclama soudainement la jeune femme.
  • Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? rétorqua Jughead.
  • Archie est à côté. J’ai pas envie qu’il nous voit en train de faire ça, dit-elle.

Jones comprit l’inquiétude de la jeune femme. Ce fut donc pour cela qu’il se leva brusquement, manquant de trébucher à cause de tout l’alcool qu’il avait bu, et invita Betty à le suivre. Elle saisit la main qu’il lui tendit et tous deux partirent en direction de sa chambre. Une fois dans la pièce, le jeune homme poussa tout à coup la demoiselle qui tomba sur le lit. Par la suite, il alla la rejoindre précipitamment et l’attrapa au niveau des poignets qu’il maintint fermement contre la douce surface avec une seule main.

Jughead donna plusieurs baisers à Betty au niveau du cou pendant qu’il soulevait progressivement son haut, dévoilant ainsi sa poitrine. Il la caressa quelques temps avant de venir sucer ses seins. La jeune femme dont les gémissements débutaient à peine, commençait à être de plus en plus excitée. Malheureusement, elle était encore très loin de se douter de ce qui allait se produire.

Le jeune homme retourna embrasser passionnant dulcinée. Il glissa ensuite sa main le long de son ventre, descendant de plus en plus vers son entre jambe. Jughead l’inséra dans sa petite culotte et commença à jouer avec sa partie intime. Cela ne laissa pas la jeune femme indifférente. Betty se mit donc à gesticuler dans tous les sens et à se mordiller la lèvre inférieure quand son partenaire du moment de l’embrassait pas.

Alors qu’il n’avait même pas encore introduit de doigt à l’intérieur d’elle, Jones pouvait clairement se rendre compte que la partie intime de la jeune femme devenait de plus en plus chaude et humide. De plus, le rythme cardiaque de cette dernière s’accéléra et son visage devint plus rouge. Il joua avec son clitoris pendant environ deux minutes, le caressant en faisant des mouvements verticaux et circulaires, puis finit par introduire son doigt dans son vagin. A ce moment, Betty serra soudainement les poings et décolla légèrement son dos du lit. Cela s’accentua lorsque Jughead se mit à faire des va-et-vient en prenant soin de bien frotter les parois de son appareil reproducteur.

Jughead Jones doigta Betty Cooper pendant de nombreuses minutes. D’ailleurs, il le fit si bien que la demoiselle avait l’impression de devenir folle. Son visage était beaucoup plus rouge que précédemment, elle respirait fortement, et ne pouvait plus se retenir de gémir. Ce fut à cet instant que le jeune homme retira brusquement son doigt et se redressa.

  • Qu’est-ce que…qu’est-ce que tu fais ? lui demanda-t-elle.
  • Un instant s’il-te-plait, rétorqua-t-il.

Jones descendit du lit et se dirigea vers une commode de laquelle il sortit une paire de menottes et un sex-toy. En voyant ces deux objets, la demoiselle eut une idée assez claire de ce qu’il voulait faire avec. Elle était beaucoup trop excitée pour refuser et se laissa donc faire.

  • Ai-je été une méchante fille monsieur l’agent, dit-elle en présentant ses mains.
  • En effet, mademoiselle. Veuillez donc placer vous mains derrière vous. Nous allons procéder à un examen de routine, rétorqua Jughead.

Betty fit donc ce qu’on lui ordonna et se fit menotter quelques instants plus tard. Les deux se regardèrent alors dans les yeux avant que Jones ne la pousse à nouveau sur le lit. Il l’agrippa par la suite au niveau de la taille et retira ce qu’elle portait, y compris sa petite culotte. Cela ne manqua pas de gêner la jeune femme mais bon, c’était Jughead après tout. Qu’avait-elle à craindre de lui ?

Jughead Jones écarta doucement les jambes de la demoiselle puis fit de même avec son vagin. Il mit ensuite son doigt dans sa bouche avant de l’insérer à nouveau à l’intérieur d’elle. Le jeune homme fit des mouvements de va-et-vient tandis qu’il se délectait de son clitoris. Il introduisit un second doigt plus tard, ce qui ne manqua pas de faire réagir Betty dont les gémissements devenaient de plus en plus prononcés. Cela dura de nombreuses minutes jusqu’à ce qu’il s’arrête pour faire une petite pause, du moins c’était ce qu’elle pensait. En vérité, il saisit le godemichet se trouvant à côté de lui et le plaça juste à l’entrée de son vagin. Comme celui-ci avait déjà été bien humidifié, la pénétration se déroula sans accro. Dès que l’objet se trouva à l’intérieur d’elle, le jeune homme appuya sur un bouton, ce qui le mit en marche. Le sex-toy vibra alors dans le vagin de Betty, ce qui lui procura de fortes sensations.

—–*—–

Pendant que Betty Cooper et Jughead Jones s’amusaient dans la chambre, Archie Andrews revenait de sa petite commission. Quand il arriva dans le séjour, ne les voyant pas, son premier réflexe fut de les appeler.

  • Betty ! Jughead ! Vous êtes où ? rétorqua-t-il.

N’obtenant aucune réponse, il partit se mettre devant l’une des fenêtres uniquement pour constater que la voiture avec laquelle ils étaient venus était toujours présente, ce qui signifiait que ses deux amis se trouvaient toujours dans l’appartement. Après quelques dizaines de secondes de recherche, il entendit les gémissements de la jeune femme. Ceux-ci provenaient de la chambre à coucher. Le rouquin ne put s’empêcher d’esquisser un léger sourire alors qu’il se tenait devant la porte. Il colla même son oreille contre cette dernière afin de mieux les entendre.

  • Vas-y mec ! Déchaine-toi, murmura-t-il.

Finalement, Andrews retourna s’assoir dans le canapé quelques instants plus tard. Il attrapa alors la bouteille d’alcool et se servit un autre verre qu’il descendit cul sec juste après.

Pendant qu’Archie sombrait de plus en plus dans l’alcool, Jughead attrapait le sex-toy et faisait des mouvements de va-et-vient avec. De son côté, la jeune blonde était dans une sorte de trance jouissive. C’était un peu comme si elle était possédée par un démon et était en pleine séance d’exorcisme. Elle gigotait dans tous les sens, fermant et écartant ses jambes à de nombreuses reprises, décollant également son dos du lit plusieurs fois, et respirant fortement.

Le jeune homme estima que le temps était désormais venu de passer aux choses sérieuses. Il retira donc ses vêtements puis plaça Betty sur le dos.

  • Qu’est…qu’est-ce…que…tu…fais ? demanda-t-elle difficilement.

Jughead ne lui répondit pas et se contenta d’écarter doucement ses fesses avant d’y insérer d’une traite sa bite. La jeune femme se mit à hurler de douleur et des larmes coulèrent le long de son visage alors qu’il n’y allait pas de main morte avec elle. Jones prit appuie sur la demoiselle et continua allègrement de détruire son pauvre petit cul. Betty se retrouva alors dans une situation plutôt cocasse et complexe. Non seulement elle prenait du plaisir devant avec le sex-toy, mais en ce qui concernait l’arrière, c’était tout autre chose. Sa situation pouvait dès lors être qualifiée de dérangeant mélange de douleur et de plaisir.

Les minutes passèrent et le jeune homme commença à en avoir un peu marre de la position dans laquelle les deux se trouvaient. Il se redressa donc, agrippa Betty au niveau des chevilles, puis la tira vers le bord du lit. Jughead l’attrapa par la suite au niveau des hanches, mit son petit trou du cul bien en évident, puis inséra de nouveau sa bite à l’intérieur d’elle. Cela fit en sorte que la demoiselle pousse un nouveau cris de douleur et provoqua également quelques tremblements au niveau de ses cuisses. Le calvaire de Betty continua encore pendant longtemps.

Jughead retira de nouveau sa bite de la jeune femme et regarda cette fois-ci le charmant petit trou qu’il lui avait fait. Au même moment, le sex-toy qu’elle avait dans son vagin était sur le point de tomber par terre. Le jeune homme le remarqua, l’attrapa avant que cela ne fut le cas, puis l’inséra de nouveau bien profondément en elle. Monsieur Jones coucha ensuite Betty Cooper sur le dos, saisit ses jambes qu’il ramena vers elle, puis la pénétra à nouveau avec cette même vigueur qui ne semblait pas s’estomper. La douleur étant beaucoup moins forte que les précédentes fois, la demoiselle se contenta cette fois-ci de serrer les dents et les poings. Cela n’empêcha cependant pas le fait qu’elle trouvait cela très désagréable. Une chance pour elle, son calvaire s’arrêta quelques dizaines de minutes plus tard lorsque le jeune homme jouit à l’intérieur de son cul. Il retira alors sa bite quelques instants plus tard et du sperme chaud et visqueux dégoulina du trou du cul de Betty. C’était enfin terminé, elle pouvait enfin souffler, du moins c’était ce qu’elle pensa sur le moment.

  • Libère-moi s’il-te-plait, supplia la jeune femme.
  • Je suis navré mademoiselle mais je suis dans le regret de vous annoncer que l’examen préliminaire que nous venons de conduire n’a donné aucun résultat concluant. Je me vois donc dans l’obligation de faire appeler à mon collègue pour qu’il m’aide dans cette tâche ardue, rétorqua Jughead.

En entendant ces mots, Betty Cooper comprit où il voulait en venir mais surtout qu’elle n’avait pas fini de souffrir. Ce fut donc complètement dégoulinant de sueur que Jughead enfila un short et alla chercher son ami dans le séjour.

A suivre !!!

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