Mademoiselle Isobelle et moi…ou plutôt Isobelle et moi entrâmes dans son bureau. Cette dernière referma la porte à clé derrière moi puis se dirigea vers son bureau sur lequel elle s’assit.
- Tu te souviens, n’est-ce pas ? J’étais assise dans la même position le jour où toi et moi avons passé notre accord, me dit-elle.
Comment pourrais-je oublier cela ? Durant les derniers mois, je n’avais fait que me repasser cette scène encore et encore dans ma tête.
- Je m’en souviens parfaitement. D’ailleurs, je pensais que vous…que tu plaisantais à ce moment, lui dis-je.
Elle me sourit par la suite, ce qui me donna l’impression qu’elle préparait quelque chose de pas net. Isobelle me fit ensuite signe du doigt d’approcher et, dès que je fus proche d’elle, posa ses deux mains sur mon visage avant de me regarder droit dans les yeux.
- Pourtant j’étais trop sérieuse, rétorqua ma prof principale avant de m’embrasser subitement.
Ses lèvres étaient encore plus douces que dans mes rêves et son parfum beaucoup plus exquis. Je me laissai donc emporter par ce fantastique moment tout en plaçant mes mains autour d’elle. Isobelle écarta alors légèrement ses jambes, me permettant ainsi de me rapprocher encore plus d’elle.
Nous finîmes d’échanger ce premier baiser et la femme de mes rêves me regarda à nouveau droit dans les yeux. Elle lâcha par la suite mon visage et commença à déboutonner sa chemise. Alors que je la regardai faire, je sentis l’excitation grandir de plus en plus en moi et mon pantalon devenir de plus en plus étroit. Quelques instants plus tard, je me retrouvai en face de son énorme poitrine. Isobelle prit ensuite ma main et la déposa dessus.
- Alors, comment tu la trouves ? me demanda-t-elle par la suite.
- Parfaits ! Ils sont parfaits, répondis-je.
La jeune femme me sourit de nouveau avant de me dire de venir les voir d’un peu plus près. Elle prit ensuite ma tête et vint directement la mettre en ses deux obus. Je me demandai alors comment ils pouvaient être aussi fermes tout en étant aussi gros. L’envie se fit vite ressentir et je commençai à appuyer ses magnifiques seins. Cela ne me suffit cependant pas. Quelque chose me gênait. Je retirai donc ma tête, attrapa la chemise d’Isobelle, et la baissai. Ma soudaine réaction la surprit légèrement mais je n’en tint pas compte. Tout ce que je voulais à cet instant était d’être au plus près d’elle.
Je plaçai mes mains dans le dos de ma professeur principale et dégrafa son soutien-gorge, libérant par la même occasion sa somptueuse poitrine. Je me précipitai de nouveau vers cette dernière, plongeant encore ma tête dedans. Cette fois-ci, c’était parfait. Je n’étais plus gêné par cet horrible soutien-gorge qui m’empêchait de profiter au maximum de ces merveilles de la nature et d’apprécier leur forme et leur fermeté à leur juste valeur. Je me mis donc à les caresser délicatement, les malaxer, et les sucer.
- Eh bien ! On dirait que tu en avais vraiment envie, me dit-elle sur un ton très sensuel.
- Tu n’as pas idée à quel point j’ai rêvé d’eux durant ces derniers mois, rétorquai-je.
- Alors profites-en autant que tu veux, m’autorisa-t-elle.
Je pris donc ce qu’elle venait de me dire à la lettre, me redressai subitement, et la poussai. Elle se retrouva par la suite coucher sur son bureau, ce qui fit tomber quelques-unes de ses affaires sur le sol. Je ne m’en préoccupai pas et allai de nouveau sucer ses seins. Je remontai doucement vers son cou et lui donnai de nombreux baisers. Pendant ce temps, Isobelle passa ses jambes autour de moi. La femme de mes rêves et moi finîmes par nous regarder à nouveau dans les yeux avant de nous embrasser pour la seconde fois.
Tandis qu’Isobelle et moi nous embrassions, celle-ci glissa lentement ses mains vers ma taille et essaya de défaire la boucle de ma ceinture. Constatant qu’elle avait quelques difficultés à le faire, je cessai de l’embrasser et me redressai. Elle parvint finalement à ses fins et en profita également pour s’occuper de mon pantalon. Isobelle mit ensuite sa main dans mon caleçon et attrapa ma bite.
- Hum ! Intéressant, s’exclama-t-elle en souriant.
La jeune femme sortit mon pénis à l’air libre et se mit à faire des mouvements de va-et-vient avec sa main. Du liquide séminal fit alors son apparition, ce qui sembla l’amuser énormément.
- On dirait qu’il veut que je prenne soin de lui, dit-elle à nouveau.
Je lui fis un simple ‘oui’ de la tête en guise de réponse. Elle me sourit à nouveau puis m’invita à m’assoir dans une des chaises. Je m’exécutai donc et pris place. Isobelle retira pendant ce temps sa chemise et son soutien-gorge puis s’agenouilla devant. La jeune femme saisit de nouveau ma bite et recommença avec ses mouvements de va-et-vient. J’avalai nerveusement ma salive alors qu’elle approchait délicatement ses lèvres de mon gland. Elle le mit ensuite dans sa bouche, descendit légèrement, puis remonta. La sensation que je ressentis à ce moment fut si exquise que je ne voulus absolument pas que cela s’arrête. J’avais l’impression qu’un doux et agréable courant électrique parcourait tout mon corps.
Isobelle continuait de me sucer tout en me regardant droit dans les yeux. Elle descendait et remontait avec passion, léchait tout le long de ma bite, gobait mes couilles d’une traite, et passait sa langue de nombreuses fois autour de mon gland. Même dans mes rêves les plus fous, jamais je n’aurais imaginé que ma prof principale était capable de tels exploits. Cela dépassait tout simplement l’entendement.
- Alors, ça te plait ? me demanda-t-elle.
- Oh oui ! Ne t’arrête pas s’il-te-plait, répondis-je.
Elle rigola un peu avant de reprendre où elle s’était arrêtée. Moi qui pensais alors avoir atteint le summum n’était clairement pas prêt pour ce qui allait suivre. Isobelle plaça mon pénis entre ses seins, puis les poussa l’un vers l’autre. La jeune femme se mit par la suite à faire des mouvements de va-et-vient tout en continuant de me sucer. Assis sur mon siège, j’attrapai les accoudoirs et les serrai de toutes mes forces.
- Putain c’est bon ! m’exclamai-je dans ma tête.
J’avais envie d’elle, envie de la prendre ici et maintenant, envie de ne faire plus qu’un avec elle. Je m’avançai donc vers elle, l’attrapai au niveau du menton, et l’embrassai de nouveau.
- Professeure, j’ai envie de vous ici et maintenant, lui dis-je juste après.
Après cela, Isobelle se redressa et commença à retirer le reste de ses vêtements devant moi. J’avais alors l’impression d’assister à une séance de strip-tease. Lorsqu’elle se retrouva uniquement vêtue de sa petite culotte, ma prof principale se retourna soudainement. Elle attrapa cette dernière et l’enleva très doucement, me montrant par la même occasion son énorme et ferme postérieur et tout ce qui allait avec. Elle me lança par la suite son sous-vêtement que j’attrapai en vol tout en étant un peu surpris par son geste.
Tandis que j’étais encore légèrement confus par ce que je tenais dans mes mains, Isobelle se rassit sur son bureau. Elle écarta de nouveau ses jambes et m’invita à la rejoindre.
- Qu’est-ce que tu attends ? Il s’ennuie tout seul, me dit-elle, faisant référence à son vagin.
J’acceptai donc volontiers son appel mais, avant de la pénétrer, j’allai m’occuper un peu d’elle. Je vins d’accroupir devant elle, écartai délicatement ses lèvres avec mes deux pouces, posai ma langue sur son clitoris. Je lui rendis donc le charmant service auquel j’avais eu droit précédemment. Mouvements circulaires et linéaires, je n’en oubliai aucun. Comme c’était ma toute première fois de faire une telle chose, je n’avais aucune expérience dans ce domaine et ne sus donc pas si je le faisais correctement. C’était du moins ce que je pensais jusqu’à ce qu’Isobelle pose brusquement sa main sur ma tête quelques instants.
- Humm ! Continues, ne t’arrête surtout pas, s’exclama-t-elle tout en gémissant.
Encouragé par ses mots, je décidai de mettre un peu plus d’entrain. J’introduisis donc mes doigts dans son vagin et commençai à faire des mouvements de va-et-vient. Ce dernier, qui était légèrement chaud et humide lors de mon insertion, le devint encore plus. Je pris ensuite quelques instants pour observer ma professeure, uniquement pour me rendre compte que celle-ci avait plié le poing et l’avait placé devant sa bouche, sûrement pour ne pas faire de bruit.
De nombreuses minutes passèrent et Isobelle avait retiré sa main de ma pour se caresser la poitrine avec. De mon côté, je continuais ce genre je faisais, la léchant, suçant, et doigtant. Lorsque je retirai mes doigts de son vagin, ceux-ci furent recouverts d’une substance gluante. Je les remis en place et repartis pour plusieurs autres minutes.
Mon désir et celui d’Isobelle atteignirent finalement leur summum. Elle en avait envie et c’était également le cas pour moi. Je me redressai donc, retirai mon pantalon et mon caleçon qui trainaient au niveau de mes chevilles, puis fouillai mes poches à la recherche des préservatifs que j’avais mis dedans la matinée. J’en pris un avant de jeter mes vêtements dans un coin. Je l’enfilai ensuite et me retournai vers la femme de mes rêves qui m’attendait impatiemment.
Après tant de mois d’attente, la tête de ma bite se retrouva à l’entrée de son vagin. Petit à petit, celle-ci se fraya un chemin à l’intérieur d’Isobelle. La chaleur et l’humidité que je ressentis alors avec mes doigts me procurèrent alors une sensation que je ne pus décrire mais que j’appréciais et savourais énormément. Je me retrouvai complètement en elle quelques instants plus tard. A cet instant, je me dis que c’était le plus beau jour de toute ma vie.
Ne voulant pas me précipiter, je commençai à bouger doucement. Je voulais profiter de chaque instant durant lesquels Isobelle et moi ne formions plus qu’une seule et unique entité. Je rentrai, allai le plus profondément en elle, puis revins. Je réitérai le mouvement encore et encore. Je posai ensuite ma main sur mon visage et rapprochai mes lèvres des siennes. Nous nous embrassâmes passionnément tandis que la jeune femme resserrait progressivement ses jambes autour de moi. C’était bon, c’était même exquis.
Isobelle et moi continuâmes de nous embrasser. Je lui donnai également des baisers dans le cou tandis qu’avec ma main, je caressai un de ses seins. La jeune femme se coucha ensuite sur son bureau. Je posai alors ma main sur sa joue et descendis progressivement au niveau de son cou, puis de sa poitrine, de son ventre. Je m’arrêtai finalement au niveau de ses hanches que je saisis. Je mis alors plus d’entrain dans ce que je fais, accélérant mes mouvements et les rendant plus intenses. Je me penchai de nouveau vers elle pour l’embrasser puis repartis de plus belle.
Les minutes passèrent et Isobelle et moi décidâmes de changer de position. Je retirai donc mon pénis de son vagin et cette dernière se redressa. Elle se retourna par la suite et montra son énorme boule. J’insérai de nouveau ma bite en elle et agrippa par la suite ses hanches. Je recommençai avec mes mouvements de va-et-vient qui me procuraient énormément de plaisir. J’espérais également que ce fut le cas pour elle bien que je n’avais pas à trop m’inquiéter à cause des gémissements qu’elle commençait à émettre. Elle et moi étions si déchainés à ce moment que l’on faillit faire tomber son ordinateur fixe.
Alors qu’Isobelle bougeait allègrement son cul sur ma bite, une partie de son corps attira soudainement mon attention. Je mis alors mon index dans ma bouche pour l’humidifier légèrement avant de l’introduire dans son trou du cul.
- Hé ! Non, non, pas aujourd’hui. Ce sera peut-être pour une prochaine fois, s’exclama-t-elle en se retournant brusquement.
- Donc il y aura bien une prochaine fois, rétorquai-je.
- Ca va dépendre, reprit-elle.
- De ? ajoutai-je.
- Si tu arrives à me faire jouir ou pas, me dit-elle par la suite.
Je compris à ce moment que mes chances de passer un autre bon moment avec madame…avec Isobelle était d’être performant dans ce que je faisais en ce moment. J’acceptai donc de relever le défi et allai m’assoir sur une des chaises. Je l’invitai par la suite à ce rejoindre, ce qu’elle fit quelques instants plus tard. Elle s’assit donc sur moi et nous repartîmes pendant plusieurs minutes durant lesquelles je plaçai ma tête en ses seins, les suçai, les malaxai, et l’embrassai. Malheureusement pour moi, je fis tout mon possible pour me retenir mais, au bout d’un moment, je ne pus plus et finis par tout décharger en elle. Isobelle sentit ma soudaine raideur et comprit immédiatement ce qui venait de se produire, d’autant plus que je respirais fortement.
- Dommage ! Tu étais à ça d’obtenir un autre moment avec moi, me dit-elle de nouveau comme pour se moquer.
Ne pouvant accepter cette défaite, je décidai de passer au plan B. Je demandai donc à la femme de mes rêves de se relever. Ma bite toute flasque sortit alors de son vagin mais bon, ce n’était pas grave. Je n’en allais pas en avoir besoin pour la suite. Je la tirai avec moi vers son bureau sur lequel je l’invitai à s’assoir. J’écartai par la suite ses jambes et m’agenouillai devant elle. Si je ne pouvais pas la faire jouir avec ma bite, je le ferais avec ma langue. Je m’attaquai donc de nouveau à son clitoris et je la doigtai en même temps. Comme elle était déjà sur le point de venir, je devais juste fournir un dernier petit effort.
Je cavai Isobelle encore et encore. Ses gémissements devinrent si importants que quelqu’un à l’extérieur du bureau aurait pu nous entendre. Je n’en avais cependant rien à cirer et me concentrai sur ma tâche. Finalement, après quelques minutes de travail, le moment tant attendu arriva. Je ne m’attendais toutefois pas à ce que la jeune femme resserre brusquement ses jambes, coinçant alors ma tête. J’avais réussi, je l’avais obtenu. Isobelle et moi allions nous revoir pour un second round. Il ne me restait plus qu’à me libérer de son emprise et de parler avec elle.
—–*—–
Il fallut un certain à la demoiselle pour reprendre ses esprits. Dès que ce fut le cas, elle se redressai et aperçut alors le petit sourire que j’avais au coin des lèvres.
- Alors, pour quand devons-nous programmer notre second rendez-vous ? lui demandai-je.
- Récupère d’abord ton diplôme après nous en parlerons, me répondit-elle.
Je ne compris pas vraiment pourquoi elle retardait l’échéance mais ce n’était pas grave. Du moment que je savais qu’un tel évènement allait se reproduire, j’étais en paix avec moi-même. Isobelle et moi nous rhabillâmes et nous apprêtâmes à sortir de son bureau après avoir rangé tout le bordel que nous avions fait. Au moment où je m’apprêtai à attraper la poignée de porte et à la tourner, cette dernière me stoppa brusquement. Elle prit ensuite un stylo et écrivit quelque chose sur un bout de papier qu’elle vint me donner. Toutefois, avant de le placer dans ma main, elle m’embrassa subitement.
- Prends-en bien soin, me dit-elle après.
Je regardai alors le bout de papier qu’elle venait de me remettre et constatai qu’un numéro de téléphone était inscrit dessus. Je tournai ensuite mon regard vers elle, la voyant ouvrir la porte. Je ne pus alors pas m’empêcher d’afficher un sourire, réalisant qu’elle et moi devions nous revoir encore de nombreuses fois.
- Alors, qu’est-ce que tu attends ? Tu viens ou pas ? rétorqua-t-elle.
- Oui, j’arrive, répondis-je.
Je quittai le bureau de mon professeure principale et tous deux prirent différentes routes. En sortant de mon lycée, je le regardai une toute dernière fois, me rappelant alors de tous les bons moments que j’avais passés à l’intérieur et imaginant tous ceux que j’allais avoir grâce à lui. Quelques instants plus tard, je rentrai finalement chez moi, heureux comme jamais.
FIN !!!