La promotion 01: Natacha Barnes

Une jeune femme rentra soudainement dans une des salles de bain d’un luxueux manoir. Elle avait des cheveux bouclés gris argenté, une peau couleur ébène, des yeux marron clair, et portait une nuisette bleue qui dévoilait tout ce qu’elle portait en dessous, à savoir sa petite culotte. Elle se plaça devant le miroir et admira son reflet. La demoiselle affichait alors l’expression d’une personne sur le point de faire quelque chose qu’elle allait regretter.

– Mon maquillage, dit-elle soudainement tandis qu’une larme commençait à couler le long de son visage.

Alors qu’elle essuyait cette larme, quelqu’un frappa soudainement à la porte avant de rentrer dans la pièce. Il s’agissait d’une femme portant un costume trois-pièces complètement noir assorti d’une cravate blanche.

– Mademoiselle Barnes, la cérémonie est sur le point de commencer, rétorqua-t-elle.

– J’arrive tout de suite.

La jeune femme jeta dans une poubelle le mouchoir qu’elle tenait dans la main avant de suivre ce nouveau personnage.

Une semaine auparavant

Un samedi matin, dans un petit Starbucks, deux jeunes et jolies femmes d’une vingtaine d’années prenaient un café. D’un côté, nous avions Natacha Barnes, une jeune femme âgée de 25 ans portant un chapeau rouge, une robe blanche assez courte, et des ballerines noires, tandis que l’autre côté se tenait sa meilleure amie, Enola Johns, qui avait le même âgé qu’elle et était vêtue d’un t-shirt de la même couleur que la robe de Natacha, un pantalon Jean gris, et une paire de baskets grise.

Mademoiselle Barnes avait donné rendez-vous à sa meilleure amie afin de discuter d’un évènement qui s’était déroulé l’entreprise dans laquelle elle travaillait. Cependant, plusieurs minutes après s’être installée à table, Natacha ne s’était toujours pas confiée à Enola.

– Alors, tu comptes me dire ce qui s’est passé ou bien tu vas prétendre ne m’avoir appelée que pour boire un café ? rétorqua mademoiselle Johns.

Natacha la regarda alors droit dans les yeux, prit une autre gorgée de son amer breuvage, puis déposa son gobelet sur la table devant elle.

– Enola, j’ai appris récemment que Harlock avait encore eu une augmentation de salaire !

– Attends, tu parles de la meuf à ton boulot que tu détestes à mort ? rétorqua mademoiselle Johns.

– Elle-même. Tu ne peux pas savoir à quel point ça me fout les boules. Je travaille pourtant autant qu’elle, voire plus qu’elle. Je n’ai jamais été en retard, que ce soit au boulot ou dans la remise de mes différents rapports. Je suis aussi compétente qu’elle et monsieur Invictus le sait. Alors, pourquoi c’est elle qui a une promotion et pas moi ? dit Natacha en tapant du poing sur la table.

Son geste attira l’attention des personnes assises autour d’elles, ces dernières se demandant alors ce qui pouvait bien se passer à leur table. Enola suggéra à sa meilleure amie de se calmer, ajoutant également tout le monde avait les yeux braqués sur elle.

– Écoute, je sais que ça t’énerve beaucoup, mais tu n’as pas à t’en prendre à cette pauvre table. Regarde, tu as même renversé ton café, poursuivit-elle.

– Hum !

Après avoir jeté un coup d’œil autour d’elle et constaté que la plupart des gens se trouvant dans le Starbucks avaient effectivement les yeux rivés sur son amie et elle, la jeune femme lâcha un profond soupir et s’excusa auprès d’Enola. Quelques instants plus tard, elle présenta également ses excuses à l’employé qui vint nettoyer le désordre qu’elle avait causé et profita également de l’occasion pour commander un nouveau café en remplacement de celui qu’elle venait de verser.

– Encore désolée. Je n’aurais jamais cru que toute cette histoire aurait le meilleur de moi-même, rétorqua soudainement mademoiselle Barnes après avoir lâché un nouveau soupir.

– Je te comprends parfaitement. Si j’avais été à ta place, j’aurais certainement réagi de la même façon. Au fait, est-ce que tu as parlé de ça avec Michael ? dit Enola.

Michael, de son nom complet Michael Orzak, était le fiancé de Natacha. Les deux s’étaient rencontrés au cours de leur seconde année universitaire et avaient décidé de ne plus se quitter. On pouvait dire que les deux filaient le grand amour depuis plus de sept ans. Le jeune couple avait même prévu de passer à l’étape suivante de leur relation dans quelques mois.

– Oui, j’en ai parlé avec lui et il m’a dit de faire la même chose que Tess. En fait, il a même spécifié que je devrais aller frapper à la porte de mon patron, le regarder dans les yeux, et de lui demander une augmentation de salaire, répondit Natacha.

– Radical !

– C’est exactement ce à quoi j’ai pensé quand il m’a suggéré de faire ça.

Natacha lui dit par la suite que, toujours selon Michael, ses trois années d’ancienneté lui permettaient d’agir de la sorte et que c’était pratiquement son droit de le faire. Cependant, elle hésitait à passer à l’acte.

– Pourquoi ? Je suis du même avis que lui et je pense sincèrement que tu devrais le faire. Tu mérites également une augmentation, déclara mademoiselle Johns.

Mademoiselle Barnes resta silencieuse pendant quelques dizaines de secondes. Elle réfléchissait sur le pour et le contre qu’un tel acte pouvait causer.

– Tu sais quoi ? Vous avez tous les deux raison. Lundi après le travail, je vais demander à monsieur Invictus d’augmenter également mon salaire, s’exclama-t-elle, enjouée.

– Génial ! Je suis de tout cœur avec toi.

Le jeune homme qui était venu nettoyer quelques minutes auparavant revint avec le nouveau café de Natacha. Il déposa ce dernier sur la table et fut remercié une fois de plus pour son service. Se retrouvant de nouveau toutes les deux seules, mesdemoiselles Barnes et Johns abordèrent d’autres sujets de conversation, dont la nouvelle coupe de cheveux de Natacha.

– Je n’arrive toujours pas à croire que tu te sois teint les cheveux en gris argenté. Quand tu m’as dit que tu allais le faire, je pensais que tu me faisais une farce.

– Ça te plaît ?! Michael n’en croyait également pas ses yeux quand je suis rentrée hier avec cette coupe de cheveux. Il a même dit que c’était particulier, dit Natacha en se touchant les cheveux.

– J’imagine bien sa réaction. Mais, pourquoi le gris argenté ? questionna Enola, curieuse.

– Juste comme ça. En fait, quand je circulais dans les rayons du centre commercial à la recherche d’une teinture, je suis tombée dessus et je me suis dit que ce ne serait pas mal sur moi, répondit-elle.

– Je vois.

Mademoiselle Johns n’en croyait pas ses oreilles. Dire qu’elle avait choisi cette couleur sur un simple coup de tête sans savoir si cela passerait correctement avec elle. C’était du Natacha tout craché. À ce moment, une certaine pensée traversa l’esprit de la jeune femme. Elle se demanda notamment quel résultat cela aurait donné si son amie avait choisi une couleur comme le rose magenta ou encore le violet. Elle imaginait les réactions de son fiancé et de ses collègues, ce qui la fit rire légèrement.

– En tout cas, cela te va à ravir, poursuivit-elle.

– Merci.

Après cette brève conversation, mademoiselle Barnes demanda à sa meilleure amie si elle était partante pour une petite séance de shopping. Sans surprise, celle-ci lui dit que la question ne se posait même pas. Les deux femmes finirent de boire leur café, réglèrent ensuite leur note, puis partirent en direction de leur centre commercial préféré.

Natacha et Enola (Art by Crystalinart)

—–*—–

Nous étions désormais dimanche aux alentours de 8 heures du matin et un réveil sonnait dans une chambre. Une main sortit alors d’en dessous les draps, saisit ensuite l’objet qui se trouvait sur un des chevets de lit, et arrêta l’horrible son. Quelques instants plus tard, une jeune femme aux cheveux gris-argenté s’étira tout en émettant un léger gémissement. Elle se retourna ensuite vers le jeune homme aux cheveux bruns et à la mâchoire légèrement carrée qui dormait juste à côté d’elle. Lorsqu’elle le toucha, celui-ci se réveilla lentement et la prit ensuite dans ses bras.

– Hum ! Bonjour toi, lui dit-il en même temps.

– Bonjour, mon amour. Bien dormi ? reprit la jeune femme en l’embrassant.

– Avec une telle créature à mes côtés, comment ne pas bien dormi ?

– Quel flatteur !

Tandis que leurs yeux s’adaptaient progressivement à la luminosité de la pièce, Natacha monta brusquement sur son fiancé. Michael passa ensuite sa main sur son visage et arrangea ses cheveux.

– Est-ce qu’on t’a déjà dit à quel point tu étais belle ?

– Oui, celui que j’ai pris pour fiancé me le dit très souvent, répondit-elle en rapprochant son visage du sien.

– Quel homme chanceux.

– Il l’est en effet.

Les deux jeunes s’embrassèrent ensuite passionnément pendant de nombreuses minutes. Alors que la tension entre les deux augmentait progressivement, Michael retira le t-shirt que sa fiancée portait. Le jeune homme passa ensuite ses mains le long de son dos, caressant délicatement chaque centimètre de sa douce peau.

Il passa ensuite ses mains autour d’elle et inversa soudainement les rôles. Natacha se retrouvait désormais en dessous et inversement. Après un bref fou rire de la part de la jeune femme, les deux s’embrassèrent à nouveau. Le corps de Natacha était chaud et agréable au toucher. Il caressait son ventre, puis sa ferme poitrine tout en lui donnant de nombreux baisers dans le cou. La jeune femme appréciait énormément les sensations qu’elle éprouvait à ce moment et le fait qu’elle était désirée par l’homme qu’elle aimait accentuait le tout.

Michael descendit progressivement sa main vers l’entrejambe de sa fiancée, provoquant ainsi une profonde inspiration chez elle lorsque cette dernière rentra dans sa petite culotte. Natacha, qui avait à ce moment ses bras autour de lui, griffa son dos en réponse du geste qu’il venait de commettre. Le jeune homme cessa de l’embrasser, la regarda droit dans les yeux, et se mit à rire légèrement.

– Je suis désolée, rétorqua alors Natacha.

– Pas besoin de t’excuser. J’aime ça.

À l’instant où il termina sa phrase, Michael inséra brusquement un doigt en elle, ce qui poussa mademoiselle Barnes à pousser un léger gémissement. Il avait été si brusque, ne lui laissant pas le temps de se préparer. Était-ce une façon pour lui de lui rendre la pareille pour ce qu’il avait fait à son dos ? Connaissant son homme, c’était sûrement le cas. Les deux tourtereaux s’embrassèrent à nouveau, mais cette fois-ci avec Michael qui faisait de nombreux va-et-vient en elle.

Après de nombreuses minutes, Natacha ne pouvait plus cacher le désir qu’elle avait de ne faire plus qu’un avec Michael. Non seulement la température de son corps avait légèrement augmenté, mais son entrejambe était également devenu beaucoup plus humide. À cela s’ajoutèrent les quelques gémissements qu’elle laissait échapper et sa respiration saccadée. Cependant, elle avait une idée sur la manière dont elle voulait le faire, une idée qui, sans aucun doute, plairait énormément à son fiancé.

– Attends ! Attends ! dit-elle, l’interrompant dans ses mouvements.

– Qu’est-ce qu’il y a ? Est-ce que je t’ai fait mal ?

À la suite de cette brusque interruption, le jeune homme retira son doigt suivi de sa main des parties intimes de Natacha. Cette dernière lui dit que tout allait bien et qu’elle voulait juste le faire d’une façon un peu particulière. Mademoiselle Barnes poussa légèrement son fiancé et descendit du lit.

Se tenant désormais au bord leur lit, mademoiselle Barnes attrapa sa petite culotte en dentelle avant de se pencher doucement vers l’avant, la baissant progressivement. Michael, qui observait la scène en silence, ne put s’empêcher d’être hypnotisé par ce qu’il avait devant les yeux. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il la voyait agir de la sorte, mais le résultat était le même à chaque fois.

Plus Natacha descendait et plus c’était dur pour lui de tenir en place, d’autant plus que les fesses de sa fiancée prenaient de plus en plus la forme d’un cœur, un cœur qu’il avait envie de saisir, un cœur avec lequel il voulait s’amuser. Michael voulait se lever du lit, voulait aller la retrouver, voulait la prendre dans ses bras, voulait échanger un regard passionnel avec elle, mais voulait surtout l’embrasser.

Natacha, qui venait de retirer sa petite culotte, se redressa. Elle se retourna ensuite vers Michael avant de la lui lancer. Le jeune homme l’attrapa en plein vol et, alors qu’il fixait curieusement ce qui se trouvait dans sa main, il ne put s’empêcher de s’interroger sur ce qui venait de se produire. Orzak était surpris et pas qu’un peu. Sa fiancée venait littéralement de lui jeter sa petite culotte. De nombreuses questions lui traversèrent alors l’esprit, notamment une concernant la nature de ce geste.

Pendant que Michael avait l’esprit occupé, mademoiselle Barnes profita de l’occasion pour se diriger vers la salle de bain et, lorsque le jeune homme détourna son regard de la petite culotte pour le reporter de nouveau sur elle, cette dernière lui fit part de ses intentions avec un simple geste du doigt. À ce moment, tout prit sens dans l’esprit d’Orzak. Le message était clair, « rejoins-moi et passons ensemble un agréable moment ».

Laissant la porte de leur salle de bain entrouverte, la jeune femme alla se mettre sous la douche. Alors qu’il entendait tout ce qui se passait à l’intérieur, l’esprit de Michael s’affola énormément. Il imaginait notamment l’eau chaude couler le long du corps complètement dénudé de Natacha. Quelques secondes plus tard, ne pouvant plus résister à cet appel, le jeune homme se leva à son tour du lit, retira également son caleçon qu’il jeta parterre, et fonça retrouver sa fiancée.

—–*—–

Lorsque Michael arriva dans la salle de bain, la porte vitrée de leur douche était complètement recouverte de buée, ne laissant uniquement transparaître que la magnifique silhouette de Natacha. Malgré le fait qu’il ne la voyait pas directement, le jeune homme ne pouvait pas s’empêcher d’être attiré par elle. Orzak ouvrit donc doucement la porte et se faufila sous la douche tel un serpent.

Alors qu’il se trouvait derrière mademoiselle Barnes, le jeune homme posa tendrement ses mains sur ses épaules. Il les descendit ensuite le long de ses bras tout en lui donnant de nombreux baisers dans le cou. Natacha, qui avait les yeux fermés à ce moment afin de savourer la douceur des lèvres de Michael qui se posaient sur sa peau, leva son bras droit et passa par la suite sa main dans les cheveux de son homme.

Pendant qu’il passait sa main gauche sur la poitrine de Natacha, la caressant délicatement, avant de descendre vers son ventre plat, Michael plaça la droite sur sa joie gauche. Il guida ensuite le visage de la jeune femme jusqu’au sien avant de l’embrasser. Pendant plusieurs minutes, le couple Barnes-Orzak échangea de langoureux et passionnants baisers sous un torrent d’eau tiède caressant leurs corps dénudés.

Après deux minutes d’échange de baisers passionnels, Natacha se retourna et regarda ensuite son bien-aimé droit dans les yeux. Ce n’était qu’un simple regard, mais leurs yeux témoignaient tout l’amour qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Michael, qui avait à ce moment son bras autour de sa taille, approcha ses lèvres des siennes et les deux s’embrassèrent à nouveau. Cependant, contrairement à la fois précédente, cela ne dura pas plus d’une minute. En effet, le jeune homme plaqua soudainement mademoiselle Barnes contre le mur de la douche. Natacha se mordit la lèvre inférieure après ce geste. Elle aimait quand Michael se montrait aussi entreprenant.

Orzak attrapa fermement les bras de sa fiancée qu’il plaça ensuite au-dessus de sa tête. Il approcha lentement son visage du sien et se remit à l’embrasser. Pendant ce temps, le jeune homme posa sa main libre sur sa poitrine et la malaxa délicatement ; pinçant, twistant, et tirant son téton de temps en temps. Toutefois, il ne comptait pas s’arrêter là. Michael glissa lentement sa main le long du ventre plat de Natacha jusqu’à son entrejambe. Là, il frôla doucement son clitoris avant d’insérer un doigt en elle. Cette combinaison d’actions ne laissa pas mademoiselle Barnes indifférente. Celle-ci finit donc par émettre un léger gémissement, un parmi la ribambelle qui était sur le point d’arriver.

Le couple continua donc d’échanger de passionnants baisers pendant plusieurs minutes. Durant tout ce temps, leur libido ne cessait d’augmenter. Natacha avait envie de Michael tout autant que lui.

La jeune femme gesticulait de plus en plus tandis que le doigt de son homme faisait de nombreux va-et-vient à l’intérieur d’elle. Cela s’accentua lorsqu’il lui donna à nouveau des baisers dans le cou tout en introduisant un second doigt à l’intérieur d’elle, poussant ainsi cette dernière à émettre un gémissement beaucoup plus prononcé. Natacha voulut à ce moment placer ses bras autour de lui, mais ne put malheureusement pas le faire, Michael la tenant fermement. Elle était condamnée à se laisser faire jusqu’à ce qu’il décide de la libérer de son emprise.

—–*—–

Cela faisait déjà plus de deux minutes que Michael bougeait son doigt dans le vagin de Natacha. Chaque mouvement de va-et-vient rendait la jeune femme de plus en plus folle et augmentait également son désir de ne faire plus qu’un avec lui.

Heureusement pour mademoiselle Barnes, son fiancé se dit que l’heure était venue de pimenter un peu les choses. Il retira donc son doigt de son vagin et le lui présenta peu de temps après. Celle-ci le mit ensuite dans sa bouche et le suça tendrement comme s’il s’agissait d’un simple bonbon. Pendant ce temps, Michael la relâcha et lui donna à nouveau des baisers dans le cou. Michael l’embrassa par la suite sur l’épaule, légèrement au-dessus du sein, sur le téton, sur le ventre…

Le jeune homme descendait progressivement, ce qui ne laissa bien évidemment pas mademoiselle Barnes indifférente. Chaque fois que les lèvres de son homme se posaient sur son corps, Natacha éprouvait un agréable sentiment de bien-être, une envie de ressentir quelque chose de long et dur en elle, un désir qui ne demandait qu’à être satisfait.

Michael était désormais à genoux devant Natacha. Comme précédemment, le jeune homme apposa délicatement ses lèvres sur son bas-ventre. Il attrapa ensuite la jambe de sa fiancée qu’il mit sur son épaule avant d’embrasser son pubis. Mademoiselle Barnes, qui avait su ce qu’il voulait faire dès l’instant où il avait commencé à s’agenouiller, passa ses mains dans ses cheveux mouillés. Elle appréhendait déjà le moment où sa langue entrerait en contact avec son clitoris, ce qui ne tarda pas.

En effet, Natacha n’eut pas à attendre très longtemps avant de ressentir les premiers coups de sa langue contre son clitoris. Elle allait de haut en bas, de gauche à droite, et tournait également sur elle-même, tout ceci pour le plus grand plaisir de madame. Michael, qui avait à ce moment ses mains sur les hanches de mademoiselle Barnes, posa l’une d’entre elles sur un de ses seins, tandis qu’il insérait de nouveau ses doigts dans son vagin. Cette combinaison accentua énormément le désir de Natacha qui émit de forts gémissements. Ne pouvant plus se retenir, la jeune femme attrapa son fiancé par la tête et le força à se relever.

– Je te veux en moi, lui dit-elle.

Michael esquissa un sourire narquois avant de l’embrasser à nouveau. Natacha profita alors de cette occasion pour se saisir de son sexe et l’introduire en elle. Se faisant, la jeune femme émit un gémissement étouffé par son baiser avec son fiancé tandis qu’elle sentait chaque centimètre de son pénis rentrer en elle.

Le jeune homme fit un premier mouvement de va-et-vient, suivi par un second, puis un troisième… Il se trouvait à l’intérieur de la femme qu’il aimait et comptait donc profiter de chaque seconde que ce moment intime avait à leur offrir. Du côté de mademoiselle Barnes, c’était la même chose. La jeune femme aimait sentir son homme en elle. Elle aimait sa vigueur, mais également la douceur qu’il lui témoignait à cet instant. Le couple Barnes-Orzak s’adonna donc à la danse de l’amour, échangeant par la même occasion de nombreux baisers sous une pluie d’eau chaude.

Une dizaine de minutes plus tard, alors qu’ils étaient toujours dans la même position ; échangeant de nombreux baisers et caressant chaque centimètre de leur corps ; Michael se retira de sa fiancée. Il le retourna soudainement et la plaqua quelque peu violemment contre le mur. Natacha aima cela, elle aimait quand son homme se montrait brutal dans ce genre de moment. Le jeune homme prit ensuite soin de tirer son bassin vers lui avant de rentrer à nouveau en elle. Le couple repartit donc de plus belle avec la même vigueur que précédemment.

Michael appuyait les seins de Natacha. Il appréciait énormément la sensation que ceux-ci lui procurait, d’autant plus qu’ils avaient la bonne taille et la bonne fermeté pour lui. Le corps de sa fiancée l’excitait, beaucoup trop même. Il savait qu’il devait se calmer, de peur de se libérer trop tôt. Mais c’était beaucoup trop bon. Les sensations de chaleur, d’humidité, et d’étroitesse étaient tout simplement inimaginables. De plus, il y avait l’endroit dans lequel ils se trouvaient. Rien de plus excitant que faire un avec sa bien-aimée sous la douche, ce qui expliqua pourquoi il ne voulait pas ralentir. Il se força cependant à le faire, ne voulant pas décevoir sa dulcinée.

Le jeune homme réduisit donc la cadence, juste assez pour éviter de se libérer trop tôt. De son côté, mademoiselle Barnes n’avait aucun problème avec ce soudain changement de rythme. Bien au contraire, elle aimait également quand son homme prenait le temps de lui faire plaisir. C’était une des qualités qu’elle appréciait énormément chez lui. Il savait se montrer à la fois tendre et brutal, selon ce que la situation exigeait.

Le couple continua donc leur danse de l’amour avec cette lente et tendre cadence. Cependant, après quelques minutes, le jeune homme recula légèrement, tirant vers lui le bassin de mademoiselle Barnes. Natacha n’était plus plaquée contre le mur, mais s’appuyait désormais contre celui-ci avec ses mains. Cela tombait vraiment à pic, la jeune femme commençant à se sentir quelque peu mal à l’aise dans la précédente position. Peut-être s’était-il rendu compte de ça ? Quoi qu’il en soit, la nouvelle position dans laquelle elle se trouvait ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Elle ressentait l’intégralité du pénis de Michael rentrer en elle.

Étant un homme, Michael commença à en avoir assez de la cadence qu’il avait adoptée, et cela au bout de quelques minutes. Il décida donc de tout donner, et ce même si cela signifiait qu’il devrait jouir dans les minutes suivantes. Il gifla donc l’une des fesses de Natacha, ce qui provoqua un gémissement chez elle, l’agrippa fermement par les hanches, puis changea brusquement de rythme après un puissant mouvement de va-et-vient. Orzak se montra beaucoup plus agressif que précédemment au grand plaisir de la femme qu’il aimait. Il attrapa même ses cheveux bouclés mouillés et les tira vers lui. Cela n’avait plus rien d’une séance romantique sous la douche, mais ressemblait désormais à une session de baise.

Les minutes s’écoulèrent et le jeune homme se rapprochait du moment fatidique. Son excitation était sur le point d’atteindre son paroxysme. Sa respiration et son rythme cardiaque s’accélérèrent, ses yeux se révulsèrent légèrement, et son corps tout en entier devint un peu plus rigide tandis qu’il se libérait finalement à l’intérieur de mademoiselle Barnes. De son côté, Natacha ressentit le brusque changement chez lui, d’autant plus qu’il s’arrêta soudainement avant de se reposer sur elle. Elle comprit instantanément que son fiancé venait de jouir, ce qui était quelque peu dommage vu qu’elle était également proche de le faire. Une chance pour elle, Michael ne se retira pas immédiatement et continua de bouger, et ce même si sa vigueur n’était plus au rendez-vous. Peu de temps après, lorsqu’il sentit son énergie revenir, Orzak repartit pour un second tour, histoire de ne pas être le seul à profiter de ce moment.

—–*—–

Il était aux alentours de 10h30 lorsque Natacha finit de se rhabiller. Elle alla ensuite retrouver Michael dans la cuisine où ce dernier préparait leurs petits-déjeuners. À peine la jeune femme était-elle arrivée dans la pièce que son estomac se mit à crier famine. Il fallait dire que, après la longue activité physique qu’elle avait eue dans la salle bain, elle avait besoin de reprendre des forces.

– Je pense que la prochaine facture d’eau va être un peu salée, rétorqua Michael lorsqu’il la vit prendre place.

– Tu m’étonnes ! Sinon, ça sent très bon. Tu nous prépares quoi ? répondit Natacha.

– Des œufs brouillés avec du bacon, le tout accompagné d’un jus d’orange ou de pomme, selon le goût de madame.

Natacha était très impatiente de goûter la nourriture de Michael, d’autant plus qu’elle savait déjà que cela allait être un délicieux mets. D’ailleurs, c’était l’une des nombreuses choses qu’elle appréciait énormément chez lui, à savoir sa capacité de transformer tout ce qu’il préparait en un plat digne d’un restaurant 5 étoiles.

Tandis que le jeune homme était aux fourneaux, mademoiselle Barnes ne put s’empêcher de regarder son fessier. Il fallait dire qu’elle le trouvait très attirant. D’ailleurs, ce dernier était tellement attractif qu’elle avait envie de l’agripper. Malheureusement, au moment où elle tendit sa main pour le faire, Michael se retourna brusquement.

– Dit, à propos de ce dont nous avons parlé vendredi. As-tu finalement pris ta décision ? dit-il.

Ce à quoi Michael faisait allusion était la conversation qu’il avait eue avec Natacha et durant laquelle il lui avait proposé de se rendre dans le bureau de son patron, de le regarder droit dans les yeux, et de lui demander une augmentation de salaire.

– J’en ai également discuté hier avec Enola et, après mûre réflexion, j’ai décidé de le faire, mais pas comme tu me l’as suggéré, répondit-elle.

– Dommage ! Ça aurait été intéressant à voir.

– Pour toi peut-être, mais pas pour moi. Tu sais, je ne pense pas que monsieur Invictus serait du genre à rester impassible si une de ses employées venait à se comporter de la sorte avec lui. Je suis certaine qu’il la virerait sur le champ.

– Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça. Tu es une de ses meilleures employées. Je doute donc qu’il vienne à prendre de telles mesures contre toi. D’ailleurs, s’il venait à le faire, je lui rendrais une petite visite afin d’en discuter proprement, rétorqua Michael en se concentrant de nouveau sur sa cuisson.

Face à ses dires, mademoiselle Barnes lui dit qu’il n’aurait aucune chance de rencontrer son patron avec les gardes du corps qui l’entouraient en permanence.

– Vous semblez sous-estimer les capacités d’un homme amoureux, mademoiselle Barnes…

À ce moment, le jeune homme se retourna à nouveau, tenant cette fois-ci dans ses mains une des poêles dans laquelle il avait préparé. Il servit ensuite son petit-déjeuner à sa fiancée avant de poursuivre sa phrase.

– L’amour est le moteur de ce monde. Certains aiment l’argent et le pouvoir, et d’autres l’alcool et les femmes. En ce qui me concerne, tu es celle que j’aime. Je ferai donc tout mon possible pour te rendre heureuse, et ce même si je dois affronter ton patron et ses hommes.

– Que de grands mots. On verra comment tu réagiras le jour où tu seras en face d’eux, dit la jeune femme de façon sarcastique.

L’estomac de mademoiselle Barnes lui fit à nouveau remarquer qu’il était vide. Une chance pour elle, elle pouvait désormais satisfaire sa faim. La jeune femme attrapa donc ses couverts et s’attaqua au plat qui se trouvait devant elle. Pendant ce temps, Michael lui demanda lequel des jus elle voulait boire. Natacha, qui avait désormais la bouche pleine, pointa le jus de pomme du doigt.

– Alors, comment tu trouves ? questionna le jeune homme en remplissant le verre de sa fiancée.

Natacha se contenta de lever le pouce, bien trop occupé à dévorer ce qu’elle avait sous les yeux. La jeune femme n’avait pas besoin de parler pour lui montrer à quel point elle aimait sa nourriture. Michael s’assit donc en face d’elle et les deux tourtereaux consommèrent paisiblement leur petit-déjeuner.

—–*—–

Il était désormais 20 heures. La nuit était tombée depuis près d’une heure et le jeune couple était devant la télévision, enlacé dans l’un des fauteuils de leur salon. La journée s’était déroulée sans le moindre problème. Après la prise de leur petit-déjeuner, Michael et Natacha avaient vaqué à diverses occupations tels le nettoyage d’un appareil photo, la vérification de courriels, ou encore la réalisation de certaines tâches ménagères. Après tout ceci, les tourtereaux s’étaient retrouvés avec beaucoup de temps libre ; temps qu’ils avaient décidé de passer en regardant plusieurs programmes télévisés.

De plus, pendant cette période, Michael et Natacha avaient partagé quelques moments coquins avec de nombreux baisers et divers attouchements. On pouvait même dire qu’ils avaient été très activés après leur petit-déjeuner.

– Dire qu’il faut retourner au travail demain matin. Ça aurait été tellement plus intéressant si lundi faisait également partie du week-end, rétorqua Michael.

– Dans ce cas, tout le monde se mettrait à détester les mardis.

– Oui, mais au moins on aurait trois jours de repos par semaine. N’avoir que deux jours n’est pas suffisant, surtout quand on vit avec quelqu’un comme toi.

– Qu’est-ce que tu entends par là ?

Le jeune homme lui expliqua alors que passer du temps avec elle nécessitait plus que deux surtout s’il prenait en compte leurs diverses activités sportives. Mademoiselle Barnes esquissa un léger sourire avant de monter soudainement sur lui.

– Ce que tu dis là est très intéressant. Et si on mettait à profit le peu de temps qu’il nous reste avant la fin du week-end ? proposa sensuellement Natacha.

– Petite coquine ! s’exclama Michael qui comprit où elle voulait en venir.

Orzak éteignit la télévision avant de soulever sa dulcinée et de la conduire dans leur chambre à coucher. Les deux étaient ainsi repartis pour une nouvelle séance de jambes en l’air.

A suivre !!!

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