Il n’y avait aucun mot assez pour fort pour décrire comment mademoiselle Barnes se sentait alors qu’elle déboutonnait doucement sa veste grise. Les termes qui s’en rapprochaient le plus étaient alors impuissance, colère, et dégout. Sachant qu’elle ne pouvait échapper à l’homme devant elle, la jeune femme avait une fois de plus envie de mettre un terme à ses jours. Elle commençait à être à bout. Cependant, parce qu’elle avait présentement quelqu’un qui l’aimait et qui l’attendait chaque soir à la maison, sans oublier les autres membres de sa famille qu’elle chérissait énormément.
La veste grise que Natacha portait tomba finalement à ses pieds. La jeune femme se mit ensuite à déboutonner sa chemise blanche. Herman Invictus lui demanda néanmoins de le faire très lentement, voulant profiter un maximum de ce qu’il considérait comme une magnifique vue. Mademoiselle Barnes ferma les yeux tout en faisant ce qu’on venait de lui ordonner. Des larmes coulèrent le long de son visage à mesure qu’elle dévoilait le haut de son corps. Lorsque la demoiselle arriva au bas de sa chemise, elle la retira de sa jupe et la jeta par la suite à ses pieds comme elle l’avait fait avec sa veste.
Alors qu’elle se retrouvait désormais à moitié nue, l’homme d’affaires se leva soudainement du lit et s’avança vers la jeune femme. Il se plaça ensuite derrière elle, déplaça légèrement ses cheveux afin de mieux voir son cou, et posa délicatement sa main sur son épaule. Il la caressa délicatement avant de rapprocher son visage de sa nuque et de humer son doux parfum. Natacha avait horreur de ça. Cependant, elle ne pouvait pas le montrer.
Herman Invictus posa sa seconde main sur le ventre de la jeune femme et, comme la fois précédente, se mit à la caresser. Là, il remonta ensuite doucement vers sa poitrine avant de l’introduire dans son soutien-gorge rouge. Bien que cela ait été serré, il n’éprouva aucune difficulté à l’introduire totalement. Mademoiselle Barnes s’efforçait de ne pas faire attention à ce qu’il était en train de faire, et ce même si cela lui était douloureux à la fois physiquement et émotionnellement. Tandis que l’homme d’affaires malaxait le sein de Natacha, il lui donnait en même temps de nombreux baisers dans le cou. Sa peau était tellement douce qu’on aurait dit celle d’une enfant. D’ailleurs, à cause des 28 ans qui les séparaient, la jeune femme était en réalité une enfant comparée à lui.
Natacha Barnes se sentait de plus en plus mal. Cela n’avait absolument rien à voir avec sa précédente expérience. La dernière fois, son patron s’était juste contenté d’effleurer sa peau pendant quelques minutes et de passer à l’acte. Cette fois-ci, il prenait son temps. Est-ce parce qu’ils étaient en début d’après-midi et avaient donc tout le temps devant eux ? La réponse était évidente. Comme il l’avait si bien dit plusieurs minutes auparavant, Herman Invictus était le patron de tout le monde dans l’entreprise. Dès lors, il pouvait décider de partir ou pas au travail, et si un de ses employés avait le droit ou pas de finir plus tôt. Par conséquent, les deux se retrouvaient dans cette chambre d’hôtel à faire quelque chose qui la répugnait grandement.
L’homme d’affaires posa sa main libre sur les fesses de la jeune femme qu’il appuya fermement quelques instants plus tard. Il déboutonna ensuite sa jupe et baissa doucement la fermeture éclair. Celle-ci rejoignit alors les autres vêtements sur le sol, dévoilant au passage une petite culotte de la même couleur que son soutien-gorge. Cela permit à monsieur Invictus de glisser sa main à l’intérieur et d’aller s’amuser avec les parties intimes de la demoiselle.
Le majeur d’Herman Invictus frottait contre le clitoris de Natacha Barnes avec une extrême douceur. Tandis qu’il faisait plusieurs mouvements de va-et-vient d’avant en arrière, l’homme d’affaires donna à nouveau de nombreux baisers dans le cou de la jeune femme. Cela lui rappelait d’agréables souvenirs d’une époque lointaine où il n’était encore qu’un simple étudiant universitaire. À cette époque, de nombreuses fêtes étaient organisées chaque week-end et voyaient des comportements similaires se produire dans son institution scolaire.
Plusieurs minutes s’écoulèrent et l’homme d’affaires y allait désormais un peu plus profondément. Cette fois-ci, il frottait ses doigts contre les lèvres intérieures de son vagin. De son côté, mademoiselle Barnes se sentait de plus en plus écœurée par ce qui se déroulait dans cette chambre 630. L’image idyllique qu’elle s’était faite de son patron au cours des dernières années avait complètement été détruite par ses nombreux actes fortement répréhensibles. Natacha Barnes le détestait, mais elle détestait encore plus son corps qui réagissait contre sa volonté.
Herman Invictus introduisit finalement ses doigts dans le vagin de sa secrétaire et se remit à faire des mouvements de va-et-vient. À ce moment précis, tout ce qu’elle désirait était qu’il finisse au plus vite afin d’aller se réfugier dans la salle de bain et d’y déverser toute la frustration, tout le dégout, et toute la colère qu’elle ressentait envers cet homme et envers elle-même.
Cinq minutes plus tard, l’homme d’affaires retira ses doigts du vagin de mademoiselle Barnes. Ceux-ci étaient alors humides et recouverts d’un liquide quelque peu visqueux. Herman ordonna par la suite à Natacha de retirer son soutien-gorge et d’aller se coucher sur le lit. La fiancée de Michael Orzak lui obéit à contrecœur et partit se mettre éventuellement sur le dos. Monsieur Invictus profita de ce laps de temps pour retirer ses vêtements et les poser soigneusement sur un des meubles de la pièce. Une fois cela fait, il rejoignit la jeune femme.
Herman Invictus monta à son tour sur le lit et se glissa vers Natacha tel un serpent. Arrivé en face de la jeune femme, celui-ci donna de nouveau de nombreux baisers dans le cou. Pendant ce temps, cette dernière resta complètement immobile. Elle voulut également se montrer inexpressive dans le but de ne pas lui donner l’illusion qu’elle appréciait ce qu’il faisait, néanmoins, cela s’avéra être très difficile pour elle. Mademoiselle Barnes ne parvint pas à cacher ce qu’elle ressentait à cet instant et c’était tout sauf du plaisir.
Alors que l’homme d’affaires approchait soudainement ses lèvres des siennes, la jeune femme, qui ouvrit ses yeux à ce moment, détourna immédiatement le regard. Il était hors de question pour elle qu’elle échange un baiser avec lui. Malheureusement pour elle, Herman ne le voyait pas de cet œil. Il attrapa Natacha par le menton, fit en sorte qu’elle lui fasse de nouveau face, puis posa ses lèvres sur les siennes. Toutefois, il n’allait pas plus loin et ne força donc pas l’introduction de sa langue dans sa bouche.
Monsieur Invictus l’embrassa une fois de plus dans le cou, puis descendit doucement vers sa magnifique poitrine. Il la caressa à nouveau, puis se mit à sucer chacun de ses seins tour par tour durant de nombreuses minutes. Malgré le fait que Natacha n’appréciait guère la situation dans laquelle elle se trouvait, ce n’était malheureusement pas le cas de son corps qui réagissait aux différents stimuli. Il ne fut donc pas étonnant de voir ses tétons devenir de plus en plus durs, d’autant plus qu’à chaque fois qu’il suçait un sein, il caressait délicatement l’autre, comme s’il s’agissait d’un joyau dont il devait prendre soin. Au bout de quelques minutes, son patron se dirigea ensuite plus bas, continuant avec sa série de baisers.
Lorsque l’homme d’affaires arriva devant son entrejambe, il attrapa sa petite culotte et l’enleva doucement. Quand il parvint finalement à la lui retirer, il la jeta dans un coin de la pièce. Monsieur Invictus attrapa ensuite un des pieds de la jeune femme et lui donna un langoureux baiser dessus. Il remonta ensuite très lentement vers sa partie intime, s’assurant d’embrasser tout ce qu’il y avait au milieu.
Herman souleva soudainement la jambe de mademoiselle Barnes afin d’avoir un meilleur aperçu de son vagin. Il approcha ensuite sa tête de celui-ci et se mit à lécher délicatement son clitoris avec le bout de sa langue. La jeune femme détesta encore plus son corps à ce moment précis. En effet, elle le haïssait parce qu’il semblait apprécier tout ce que l’homme d’affaires lui faisait. Plus de deux minutes s’écoulèrent, deux minutes durant lesquelles mademoiselle Barnes serrait fortement les draps du lit afin de résister à tous les signaux que tout son être lui envoyait. Ce fut à ce moment que son patron décida d’introduire à nouveau un doigt dans son vagin. À l’instant où il le fit, une sorte de courant électrique parcourut tout le corps de Natacha.
La fiancée de Michael Orzak résistait, mais cela était difficile. Pourquoi avait-il fallu que Herman se décide à faire de tels préliminaires ? Pourquoi n’avait-il pas fait comme les fois précédentes et introduit directement son pénis en elle ? Pourquoi ? Maintenant, la jeune femme devait non seulement ressentir de la colère et du dégout, mais également du plaisir. Quelle mauvaise blague était-ce là ? Comment était-elle censée réagir dans un pareil cas ? Qu’est-ce que cela allait signifier pour Michael et elle si elle se laissait aller et écoutait son corps ? La jeune femme était désormais remplie de doute vis-à-vis d’elle-même. Qu’allait-elle bien pouvoir faire ? La réponse était évidente, tout comme celles à ces questions. Elle ne devait absolument pas céder. Elle ne pouvait pas faire ça, elle ne pouvait pas lui faire ça, pas à Michael, pas après autant de temps passé ensemble. Même si son corps appréciait ce que lui faisait Herman Invictus, et alors ? Cela n’allait pas changer le fait qu’elle se faisait actuellement violer par son patron et qu’elle n’allait absolument pas le pardonner pour tous les actes qu’il avait commis jusqu’à présent.
Au bout de quelques minutes, l’homme d’affaires introduisit un second doigt, puis un troisième. La tension ressentie par Natacha commençait alors à atteindre son paroxysme. Comme s’il voulait la faire craquer, Herman se mit à frotter les parois de son vagin, ce qui bien évidemment amplifia les sensations de mademoiselle Barnes. Il prenait vraiment un malin plaisir à la regarder résister au plaisir.
Une autre période de temps s’écoula à nouveau. Cette fois-ci, monsieur Invictus voulait désormais passer aux choses sérieuses. Il retira donc ses doigts du vagin de la demoiselle et arrêta également de lécher son clitoris. Il se redressa ensuite et se plaça pour la pénétration. Sachant ce qui était sur le point d’arriver, Natacha fit de son mieux pour ne pas penser à l’instant présent et se projeta dans un monde imaginaire où sa vie serait meilleure. Malheureusement, l’homme d’affaires introduisit son pénis en elle de manière un peu brutale, ce qui la ramenait immédiatement dans le monde réel.
Herman Invictus était brutal dans ses mouvements de va-et-vient. Il faisait cela dans le but de la voir réagir. Il voulait ne serait-ce qu’entendre un gémissement ou un petit cru de douleur de sa part. cependant, la jeune femme résistait encore et toujours, ne voulant pas lui donner ce qu’il désirait. Il n’allait toutefois pas abandonner aussi facilement. Monsieur Invictus finirait par obtenir ce qu’il voulait.
Tandis qu’il couchait violemment avec sa secrétaire, l’homme d’affaires remit son téton dans sa bouche. Néanmoins, contrairement aux fois précédentes, la manière dont il le suça était la même que cela avec laquelle il exécutait ses mouvements de va-et-vient. Par conséquent, mademoiselle Barnes se retrouva à serrer les poings et les dents alors que le mélange de douleur et de plaisir qu’elle ressentait s’accentuait. Finalement, seulement deux minutes après que son patron ait commencé à sucer son sein, la jeune femme émit un premier son démontrant à quel point elle avait mal.
Herman Invictus passait d’un sein à l’autre à intervalle presque régulier. En même temps, il continuait avec ses violents mouvements de va-et-vient. Il était alors comme une personne possédée, un être assoiffé de sexe qui ne semblait pas pouvoir s’arrêter et en demandait toujours plus. Au bout d’une dizaine de minutes, l’homme d’affaires se retira soudainement de mademoiselle Barnes. Il se redressa ensuite et attrapa ensuite ses cheveux. Là, il força la jeune femme à ouvrir la bouche et à accepter son pénis à l’intérieur.
Natacha n’eut malheureusement pas le choix et se retrouva à faire une fellation à Herman Invictus durant de très longues minutes. C’était encore plus déplaisant et humiliant que les fois précédentes. L’homme d’affaires finit par lâcher ses cheveux, mais se positionna cette fois-ci comme si la bouche de mademoiselle Barnes se trouvait être son vagin. De ce fait, sa tête se retrouva sous le bassin d’Herman qui tentait d’enfoncer son pénis un peu plus profondément dans sa gorge. Manquant de s’étouffer à de nombreuses reprises, la jeune femme fut contrainte de repousser son patron autant de fois qu’il n’y fallut. Il finit heureusement par enlever son pénis de sa bouche quelques minutes plus tard.
Tandis que les yeux de Natacha étaient légèrement rouges et que cette dernière toussait à nombreuses reprises, Herman Invictus la retourna brusquement. Il plaça ensuite ses mains sur ses fesses et les écarta.
- Qu’est-ce que vous…, essaya-t-elle de dire.
La jeune femme n’eut pas le temps de finir sa phrase que l’homme d’affaires introduisit soudainement son pénis dans son anus. Cette pénétration fut tellement brusque et douloureuse que mademoiselle Barnes se mit enfin à hurler, ce qui plut énormément à Herman.
Sans éprouver la moindre once de pitié pour sa secrétaire, monsieur Invictus poussa son pénis plus profondément. La fiancée de Michael Orzak essaya de le repousser plusieurs fois, mais sans succès. Ses cris de douleur résonnèrent alors dans toute la chambre. Malheureusement pour elle, parce que son patron avait réservé tout l’étage, personne ne les entendit, donc personne ne put venir à son secours. Natacha vivait sans doute à ce moment la pire expérience de toute sa vie.
De son côté, l’homme d’affaires prenait son pied. Jamais il n’aurait cru que le cul de sa secrétaire serait si bon à pénétrer. Il était tellement étroit qu’il avait l’impression qu’il se contractait autour de son pénis. Cela lui plaisait énormément.
- Mademoiselle Barnes, à partir d’aujourd’hui, votre cul est désormais mien, lui murmura-t-il aux creux de l’oreille.
Parce qu’elle pleurait et criait en même temps, la jeune femme ne lui répondit pas. D’ailleurs, même si cela n’avait pas été le cas, qu’aurait-elle bien pu le dire ? Il s’agissait de l’une des personnes les plus puissantes du pays qui se trouvait juste sur elle. Une fois de plus, l’homme d’affaires se retira de la jeune femme et se redressa. Il la tira ensuite jusqu’au bord du lit où il lui fit adopter la position de la levrette. Herman Invictus retourna une fois de plus dans le cul de Natacha et repartit de plus belle.
Après une dizaine de minutes, monsieur Invictus sentit qu’il approchait de sa limite. Il décida donc d’accélérer la cadence et de jouir en elle. Il se disait que comme il s’agissait de son cul, il n’y avait aucun problème à le faire à l’intérieur. Ses mouvements de va-et-vient gagnèrent donc en intensité jusqu’à ce que l’homme s’arrête subitement. Natacha Barnes sentit alors un liquide chaud et visqueux rentrer en elle moins d’une seconde plus tard.
- Oh, putain ! s’exclama Herman pendant qu’il jouissait dans la jeune femme.
Peu de temps plus tard, monsieur Invictus retira définitivement son pénis du cul de mademoiselle Barnes. Il avait bien évidemment encore assez d’énergie pour un second round, voire une troisième, mais il préférait s’arrêter là, réservant le meilleur pour la journée de samedi. Il se replaça devant le visage de la jeune femme, attrapa une fois de plus ses cheveux, et introduisit à nouveau son sexe dans sa bouche, ce dernier ayant besoin d’un petit nettoyage. Cela étant fait, il allait prendre place dans un des fauteuils et observait sa secrétaire pleurant sur le lit de cette chambre d’hôtel.
A suivre !!!