La promotion 61

Mademoiselle Barnes était couchée sur le lit avec ses jambes écartées. Au milieu de ces dernières se trouvait Simon Morgan admiratif tenant dans une de ses mains le vibromasseur clitoridien qu’il avait pris dans l’armoire. Quelques minutes auparavant, alors qu’il avait délicatement retire la petite culotte de Natacha, le vieil homme était resté quelque peu ébahi devant la beauté du vagin de la jeune femme. D’ailleurs, il l’avait trouvé si beau qu’il n’avait pas pu s’empêcher de passer doucement ses doigts sur ses lèvres avant de les écarter légèrement afin de dévoiler l’intérieur.

En voyant cela, Simon ne put s’empêcher de jalouser Herman. Il se dit que ce n’était pas juste que ce soit lui qui ait droit de baiser cette jeune femme quand il le souhaitait. Pourquoi avait-il fallu qu’elle travaille pour Invictus et non pour lui ? Pourquoi ne voulait-elle pas accepter sa proposition ? Sa vie serait beaucoup mieux auprès de lui ? Il devait trouver un moyen de s’emparer d’elle, une façon de lui faire comprendre que ce serait dans son intérêt de délaisser Herman et de venir le rejoindre.

Le vieil homme humidifia ses doigts avec sa bouche avant de les mettre dans le vagin de Natacha. Il se mit ensuite à faire des mouvements de va-et-vient dans l’optique que ce dernier devienne à son tour beaucoup plus humide. De son côté, mademoiselle Barnes avait les yeux fermés. Elle imaginait que c’était Michael qui était présentement entre ses jambes et qui introduisait ses doigts dans sa partie intime. Elle fit afin de ne pas se laisser envahir par toutes les émotions qui la submergeaient à ce moment. Et il était hors de question pour elle de les laisser prendre le dessus, pas maintenant. Elle y était presque. Tout ce qu’elle avait à faire était de résister un tout petit peu, juste assez pour que cet horrible cauchemar se termine enfin.

C’était cependant beaucoup plus facile à dire qu’à faire. Elle avait beau imaginer Michael entre ses jambes, elle savait pertinemment que ce n’était pas lui. Le lieu était différent, le toucher était différent, la sensation était différente, et même la manière de faire était différente. Tout ceci la ramena à la réalité et accentua également l’humidité de ses yeux. Natacha avait envie de pleurer, elle voulait verser toutes les larmes de son corps ici et maintenant. Elle trouvait la vie beaucoup trop injuste. Comment en était-elle arrivée là ? Comment sa vie avait-elle basculé à ce point ?

La réponse était plutôt simple. Tout avait basculé ce fameux lundi soir quand elle avait fait une demande de promotion à son patron. Ce fut à cet instant qu’elle découvrit la véritable nature, mais également les intentions de l’homme pour qui elle travaillait. Si seulement elle avait la faculté de remonter dans le temps, elle s’en serait servie afin d’empêcher cet évènement de se produire. Malheureusement, ce genre de choses n’existaient que dans les livres de fantaisie. La réalité était toute autre…était beaucoup plus sombre et douloureuse.

À peu près deux minutes plus tard, monsieur Morgan retira ses doigts du vagin de Natacha. Il inséra ensuite le vibromasseur clitoridien à l’intérieur avant de se redresser. Le vieil homme commença à se dévêtir tout en se dirigeant de nouveau vers l’armoire où il récupéra la télécommande de l’appareil. Pendant ce temps, mademoiselle Barnes était toujours couchée sur le lit avec ses yeux complètement fermés. Elle éprouvait une immense gêne d’avoir ce genre de truc en elle, d’autant plus que c’était le cas pour la toute première fois.

Peu de temps après, Natacha sentit l’appareil vibrer à l’intérieur de son vagin. La sensation était plutôt particulière. C’était à la fois agréable et détestable. À vrai dire, c’était beaucoup plus affreux que plaisant, et cela parce qu’elle savait comment son corps finirait par réagir. Elle était parfaitement au courant que même si elle n’appréciait guère ce qui lui arrivait présentement, ce n’était pas le cas de son corps. Elle n’avait aucun moyen d’empêcher certains phénomènes physiologiques de se produire, ce qui rendait toute cette expérience encore plus épouvantable.

Tandis qu’elle était toujours couchée sur le lit, la jeune femme fut soudainement attrapée par les cheveux. Simon, qui se montrait désormais plus violent, l’obligea à se redresser avant de la traîner hors du lit. Ce fut également au moment que Natacha ; qui se débattait pour qu’il arrête ; remarqua que ce dernier était totalement nu, une image qu’elle aurait préféré ne jamais voir. Il fallait dire que le physique de l’homme de 65 ans était tout sauf attrayant. Sa peau était flasque à divers endroits tels que les avant-bras et le ventre. Il y avait aussi son pénis, cette chose que Natacha considérait comme étant moche et répugnante, qui traînait à l’air libre à quelques centimètres de son visage. Toutes ces affreuses images vinrent s’ajouter aux autres images traumatiques que la jeune femme avait déjà en mémoire.

  • Maintenant, fais ce pour quoi tu as été acquise, rétorqua-t-il.

Il était clair que ce que lui demandait monsieur Morgan était une fellation. Ce fut donc avec beaucoup de réticence et de courage que Natacha saisit le sexe de Simon et le mit dans sa bouche.

Alors qu’elle suçait son pénis, des larmes coulèrent le long de son visage. Natacha pensait être assez forte pour endurer cela sans montrer le moindre signe de faiblesse, mais elle semblait s’être complètement fourvoyée. La jeune femme savait qu’elle venait de commettre un geste irréparable, qu’elle plongeait un peu plus un abysse émotionnel d’où elle ne pouvait plus revenir intacte. Intérieurement, elle demandait pardon à Michael, pardon de lui avoir menti, pardon pour le comportement qu’elle avait affiché tout au long de la semaine, mais surtout pardon pour les actes qu’elle commettait à cet instant et s’apprêtait à commettre un peu plus tard.

—–*—–

Michael et Stanley étaient tous deux dans le séjour et discutaient de divers sujets de conversation afin de faire passer le temps et d’aider Orzak à se focaliser sur autre chose que la disparition soudaine de Natacha. Parce que le pack de bières que Hopkins avait apporté était presque fini, les jeunes hommes étaient légèrement éméchés, ce qui facilitait les choses ou presque. En effet, malgré la tentative plus que louable de son meilleur ami, Michael ne pouvait s’empêcher de penser à sa fiancée. Il venait même à regretter la dispute qu’ils avaient eue quelques jours auparavant. Si seulement il avait su que les choses se dérouleraient ainsi, peut-être qu’il ne serait pas parti confronter son patron, Herman Invictus. Peut-être ?

Alors que l’image de Natacha endormie et complètement trempée sur leur lit conjugal lui revenait en mémoire, le jeune homme se dit que même s’il avait été mis au courant du déroulement des évènements, il aurait toujours agi de la même manière. Il aurait peut-être omis de dire à sa fiancée qu’il avait été voir son employeur afin d’éviter une dispute avec elle, mais il aurait tout de même réitéré certains de ses actes. Pour faire simple, il n’arrivait tout simplement pas à tolérer cet homme arrogant qui se cachait derrière son énorme fortune et ses gardes du corps. S’il n’y avait pas eu ces deux facteurs, leur rencontre se serait sans aucun doute passée différemment.

Voyant que son meilleur ami n’était plus vraiment avec lui, Stanley lui demanda ce à quoi il pensait, ce à quoi Michael répondit qu’il avait envie de coller son poing dans le visage d’Herman Invictus, le patron de Natacha.

  • Violent ! Mais mec, ça reste tout de même un type très influent. Faire ça risque de te coûter très cher.
  • Il peut même être le roi du monde s’il veut, mais ça ne change rien au fait que j’ai envie de lui foutre mon poing dans sa sale gueule de milliardaire, dit-il avec un soupçon de colère et de frustration dans le ton de sa voix.

Stanley fut quelque peu étonné de voir son meilleur ami dans cet état, d’autant plus qu’il n’était pas le genre à aimer les conflits. D’ailleurs, il n’avait aucun souvenir de lui ayant déjà déclenché une quelconque altercation, et ce depuis qu’ils se connaissaient. Tout naturellement, il lui demanda pourquoi il était aussi remonté envers cet homme, ajoutant par la même occasion que cela ne lui ressemblait pas.

Michael hésita un bref instant, mais Hopkins lui fit comprendre qu’il pouvait lui faire confiance et que les meilleurs amis étaient faits pour s’entraider. Le jeune homme se décida donc et lui expliqua à nouveau tout ce qui s’était passé durant les derniers jours, mais commença cette fois-ci par le lundi matin. En écoutant son histoire, Stanley comprit immédiatement pourquoi son meilleur ami était d’une humeur massacrante.

  • Mec, c’est…je sais vraiment pas quoi dire. Je pensais que c’était juste une dispute de couple, mais il semblerait que ce soit beaucoup plus grave que ça. Je comprends maintenant pourquoi tu es dans cet état. Si j’avais été à ta place, j’aurais juste sûrement réagi de la même façon.
  • J’en doute fort, rétorqua le jeune homme en affichant un léger sourire.
  • Comment ça tu doutes ?
  • Si tu avais été à ma place, ta réaction aurait été beaucoup plus violente que la mienne.
  • Pas faux.

Les deux jeunes hommes se mirent ensuite à rire devant le commentaire qui venait d’être fait, rire qui détendit un peu l’atmosphère. Ce fut peu de temps après que Michael ressentit un fort pincement au niveau du cœur, ce qui le mit bien évidemment très mal à l’aise et fit également en sorte qu’il cesse de rire. C’était la première fois que ce genre de chose lui arrivait et, par conséquent, il ne sut pas comment réagir vis-à-vis de cela. Tout ce qu’il savait était qu’il ne se sentait absolument pas bien. Constatant le changement chez son ami, Stanley lui demanda si tout allait bien.

  • Je sais pas, mec. J’ai soudainement très mal au cœur, répondit-il en posant sa main sur son torse.
  • Tu m’fais peur là. Tu veux que j’appelle une ambulance ? questionna Hopkins, inquiet pour son ami.
  • Non, pas besoin. C’est juste une petite gêne, rien de bien méchant. Ça finira par passer d’ici quelques minutes.

Il avait beau lui dire cela, Michael ne savait pas si cette légère douceur finirait par s’estomper ou pas. Tout ce qu’il espérait était que ce soit vraiment le cas. Heureusement pour lui, celle-ci diminua légèrement en intensité, mais demeura toujours présente.

—–*—–

Simon observait Natacha sucer son pénis avec une certaine satisfaction. Affichant un sourire aux coins des lèvres, le vieil homme ne put s’empêcher de remarquer que la performance de mademoiselle Barnes était très impressionnante. Sa bouche était douce, chaude, et humide, et chaque fois qu’elle insérait son pénis un peu plus profondément à l’intérieur, les sensations qu’il éprouvait étaient indescriptibles. Il était clair pour lui qu’elle savait comment s’y prendre et qu’elle avait même un don pour ça. Une fois de plus, il jalousa son collègue, Herman Invictus, d’avoir à sa disponibilité une femme capable de faire des fellations de ce niveau.

Monsieur Morgan, qui tenait dans une de ses mains la télécommande, accentua les vibrations de l’appareil se trouvant dans le vagin de Natacha. Elle cessa alors temporairement sa fellation, les mouvements à l’intérieur d’elle la déstabilisant énormément. Mademoiselle Barnes détestait présentement son corps. Celui-ci réagissait sans son accord, lui faisant ainsi ressentir certaines sensations agréables qu’elle n’avait clairement pas envie de ressentir. Il n’y avait rien d’agréable à sucer la bite d’un vieil homme nu dans la chambre d’un manoir situé dans une zone reculée du pays. Malheureusement, son corps en avait décidé autrement.

  • Ne t’arrête pas, dit Simon tout en augmentant à nouveau l’intensité des vibrations et en s’asseyant également au bord du lit.

Natacha n’eut nul autre choix que de reprendre sa fellation, et ce malgré le dégoût qu’elle éprouvait. Malheureusement pour elle, son calvaire venait à peine de commencer. Le vieil homme posa la tête de mademoiselle Barnes et exerça une certaine pression afin que celle-ci introduisît plus profondément sa bite dans sa bouche.

  • Oui, c’est ça. Plus profondément, rétorqua-t-il avec les yeux fermés.

Parce que son geste avait été soudain, la jeune femme manqua de s’étouffer et dut donc retirer son sexe de sa bouche peu de temps après.

  • Ne t’arrête pas, dit-il de nouveau, présentant par la même occasion sa bite à Natacha.

N’ayant nul autre choix que de faire ce qu’on venait de lui ordonner, la jeune femme ouvrit à nouveau sa bouche et laissa rentrer cette chose à l’intérieur, recommençant cette horrible tâche qui était la sienne.

A suivre !!!

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