Mademoiselle Barnes, qui venait tout juste d’être jetée sur le lit, ferma de nouveau ses yeux tandis que le vieil homme montait sur elle. Tel un dégoûtant serpent, il se glissa sa langue le long de son corps, comme pour goûter sa proie avant de la dévorer, avant de s’arrêter une première fois au niveau de son entrejambe. Là, il accentua une fois de plus l’intensité des vibrations du vibromasseur qu’elle avait dans le vagin tandis qu’il lui léchait délicatement le clitoris.
Alors que sa partie intime était à la fois stimulée par la langue du vieil homme et par l’appareil qu’elle avait dans son vagin, mademoiselle Barnes agrippait fermement les draps du lit. D’ailleurs, ses poings étaient tellement serrés qu’elle était sur le point de se blesser. La raison à cela : la façon dont son corps réagissait à ce qu’on lui faisait actuellement subir.
Il était clair que Natacha détestait tout ce qui lui arrivait. Elle détesta le fait que Simon Morgan la voie à moitié nue. Elle détesta qu’il pose sa main sur sa cuisse pendant qu’il essayait de la convaincre de travailler pour lui. Elle détesta lorsqu’il avait introduit ce vibromasseur dans son vagin. Elle détesta la manière dont ce vieil homme l’avait en quelque sorte forcée à sucer sa bite. Elle détesta la façon dont il lui avait tiré les cheveux. Elle détesta quand il avait passé sa langue sur ses pieds, ses jambes, et ses cuisses. Et elle détestait le cunnilingus qu’il était en train de lui donner.
Malgré tout ceci, le corps de la jeune femme n’était pas du même avis qu’elle. Bien au contraire, il se comportait comme une entité à part entière qui appréciait le traitement de Natacha. Chaque fois que la langue du vieil homme touchait son clitoris et à chacune des vibrations de l’appareil dans son vagin, une agréable sensation parcourait l’être de la demoiselle. Il en résulta donc un ensemble de réactions physiologiques ; un vagin de plus en plus humide et chaud, un durcissement des tétons, une accélération du rythme cardiaque, et des gémissements étouffés ; que Natacha essayait de combattre, mais sans grand succès. Mademoiselle Barnes faisait donc de son mieux afin de ne laisser échapper aucun son qui pourrait trahir l’abject plaisir qu’elle ressentait.
Près de deux minutes plus tard, Simon glissa de nouveau sa langue le long du corps de la jeune femme et s’arrêta cette fois-ci au niveau de sa poitrine qu’il saisit assez violemment. Alors qu’il appuyait les pauvres seins de Natacha avec brutalité, il constata que ses tétons étaient beaucoup plus prononcés et durs. Il les attrapa donc et les tira brutalement vers lui, poussant ainsi Natacha à hurler de douleur. Le premier réflexe de la jeune femme fut alors d’essayer de le repousser. Cependant, au moment où elle tenta de le faire, monsieur Morgan attrapa ses deux bras et les plaqua au-dessus de sa tête avant de recommencer ce qu’il faisait.
Natacha avait très mal. Elle demanda plusieurs fois au vieil homme d’arrêter, cependant celui-ci lui répondit qu’elle n’avait aucun droit de lui dire qu’il devait faire ou pas, puis se remit à tirer les tétons de la jeune femme. Mademoiselle Barnes se débattit du mieux qu’elle put, mais sans succès. Non seulement Simon tenait fermement ses bras, mais il était également assis sur elle. Tout ce qu’elle pouvait alors faire était de bouger frénétiquement ses jambes, ce qui ne servait bien évidemment à rien. La fiancée de Michael Orzak était donc condamnée à subir ce supplice jusqu’à ce que monsieur Morgan se décide d’arrêter.
Natacha Barnes hurlait donc de douleur, ce qui existait grandement Simon Morgan. Il aimait l’entendre crier et le supplier d’arrêter. Plus elle le faisait et plus il sentait son érection se raffermir. À ce moment, il pensait à l’accord verbal qu’il avait eu avec Herman Invictus, à savoir qu’il ne devait laisser aucune marque, ce qui était vraiment opportun. En effet, pour le vieil homme, la demoiselle étant noire, elle était plus résistante que les autres. À cela s’ajoutait le fait qu’il tirait ses tétons, ce qui était une partie un peu plus sombre de son corps. De ce fait, il pouvait donc s’adonner à certains de ses penchants sans risquer de laisser une soi-disant « marque ».
Après une nouvelle traction de la part du vieil homme, ce dernier prit la décision de déguster cette partie du corps de Natacha. Il approcha donc sa bouche de ses seins et les suça. Bien évidemment, il ne le fit pas calmement. Non, il voulait que mademoiselle Barnes ressente les choses avec plus d’intensité. Ce fut donc pour cela qu’il décida également de la mordre de temps en temps. La fiancée de Michael Orzak se remit à crier de douleur. Elle avait l’impression que ce vieil homme voulait littéralement lui arracher les seins.
Natacha regretta une fois de plus d’avoir débarqué dans le bureau de son patron ce fameux lundi soir. Si seulement elle n’avait pas été aussi orgueilleuse et si seulement elle n’avait pas été aussi impatiente vis-à-vis de cette augmentation de salaire, tout ceci ne se serait jamais produit. Elle serait présentement chez elle aux côtés de son fiancé et n’aurait également aucune idée des activités lugubres de monsieur Invictus. Malheureusement, les choses ne s’étaient pas déroulées ainsi et elle assumait désormais les douloureuses conséquences de son acte.
Le vieil homme continua d’alterner entre séance de succion et séance de traction avec la poitrine de mademoiselle Barnes pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il se dise que son pénis avait à nouveau besoin d’attention. Il s’avança donc vers la jeune femme qui pleurait et lui présenta son sexe.
- Suce-la, dit-il simplement.
Natacha ouvrit alors sa bouche et se força à sucer cette chose une fois de plus.
- Oui, c’est ça. Continue.
Le vieil homme attrapa de nouveau les cheveux de mademoiselle Barnes et l’obligea à aller plus profondément. Natacha manqua de s’étouffer et de vomir à plusieurs reprises lorsque le gland de son pénis s’enfonça un peu trop dans sa gorge. Durant ces moments, la jeune femme retirait le sexe de sa bouche en tournant simplement la tête, ce qui ne plaisait bien évidemment pas à Morgan. Ce dernier le remit donc chaque fois à sa place, faisant de son mieux pour empêcher Natacha de bouger la tête. Ce fut donc avec les yeux larmoyants et un profond sentiment de dégoût que mademoiselle Barnes s’adonna à cette horrible tache durant les minutes qui suivirent.
Peu de temps après, le vieil homme retourna lécher l’entrejambe de Natacha. Elle avait alors sa tête entre ses jambes tandis que la sienne était entre les siennes, et ce malgré la vue déplaisante.
14h03
De retour dans le domicile des jeunes fiancés, Michael et Stanley étaient tous les deux assis dans un canapé en face de la télévision. Afin de l’aider à faire passer le temps, Hopkins avait proposé à son meilleur ami de faire une petite partie de jeu vidéo. De ce fait, les deux hommes étaient présentement en train de s’affronter à un jeu de foot et c’était malheureusement le fiancé de mademoiselle Barnes que l’on menait au score.
- Qu’est-ce qui se passe, Michael ? Je t’ai connu meilleur que ça, dit le jeune homme alors qu’il était sur le point d’inscrire un troisième but.
- La partie est encore très loin d’être terminée, répondit-il tandis qu’il faisait de son mieux pour lui arracher le ballon.
Faisant tout son possible pour défendre sa cage, Michael tenta à de nombreuses reprises de s’emparer de la balle, mais sans succès. Stanley le menait littéralement en bateau dans son propre camp.
- C’est beaucoup trop facile, rétorqua-t-il en inscrivant finalement le troisième-but.
Michael avait désormais un retard de 3 buts. Stanley lui demanda s’il voulait qu’ils recommencent tous les deux le match, ce à quoi il lui répondit une fois de plus que la partie n’était pas encore terminée et qu’il avait encore le temps de revenir au score.
- Tu sais que tu ne pourras jamais égaliser avec les vingt dernières minutes, n’est-ce pas ?
- Relance le match !
- Tu es sûr de toi ?
- Stanley, relance le match. Je vais te montrer de quel bois je me chauffe.
En voyant la manière dont son meilleur ami réagissait, l’esprit de compétition qu’il venait de réveiller en lui, Stanley ne put s’empêcher d’être fier de lui, car après tout, il avait aidé Michael à oublier la situation qu’il traversait présentement. Il n’était plus focalisé sur la brusque disparition de Natacha, mais plutôt sur le fait de gagner cette partie de football contre lui.
- OK ! Voyons si tu es capable de revenir au score, déclara-t-il avant de relancer la partie.
Le match entre les deux hommes reprit donc. Cependant, et ce malgré sa confidence, Michael ne parvint pas à revenir au score avant le temps imparti. Il réussit néanmoins à inscrire un but quelques minutes avant la fin de leur partie.
- Alors, on se fait un nouveau match ou bien tu veux qu’on en reste là ? demanda Stanley.
- Bien évidemment ! Je n’étais pas vraiment en forme durant la partie précédente, j’avais l’esprit ailleurs. C’est pour ça que tu as gagné aussi facilement. Mais maintenant que l’échauffement est terminé, je vais te montrer de quoi je suis réellement capable. Allez, choisit ton équipe et lançons le match.
- OK, faisons comme ça alors. Voyons de quoi Michael Orzak est réellement capable, dit-il avec un sourire aux coins des lèvres.
Les deux hommes choisirent donc leur équipe et lancèrent une nouvelle partie de foot qui s’acheva une dizaine de minutes plus tard avec la défaite du fiancé de mademoiselle Barnes.
- Je suppose que tu avais encore des problèmes de concentration, rétorqua Stanley avec un ton moqueur.
- Un autre match !
La voix de Michael était légèrement emplie de colère. Il était évident que le jeune homme n’apprécia pas le ton sur lequel Stanley s’était adressé à lui. N’ayant pas d’autre choix, Hopkins lança un autre match qui se solda une fois de plus par la défaite de son ami. Toujours insatisfait de ce résultat, le fiancé de mademoiselle Barnes demanda à ce qu’une nouvelle partie de jeu soit lancée, puis une autre, et encore une autre. Finalement, au bout du sixième match, Stanley commença à se lasser.
- Je pense qu’on ferait mieux de s’arrêter là. Sinon, ça te dirait pas qu’on aille se prendre quelques bières au bar ? Je commence à avoir un peu soif.
Michael avait également besoin de faire une pause. Il fallait dire que le jeune homme était quelque peu frustré à cause de toutes ses défaites consécutives. En plus, il avait vraiment besoin de changer d’air. Il avait passé toute la matinée à ne rien faire hormis s’inquiéter pour Natacha. Orzak était bien évidemment toujours inquiet pour elle, mais rester à la maison ne changerait rien au fait qu’il était totalement impuissant compte tenu de la situation. Il accepta donc l’invitation de son meilleur ami.
- Pourquoi pas ? Laisse-moi juste prendre mes clés et mon téléphone ensuite on y va.
Leur destination ayant été définie, les jeunes hommes quittèrent le domicile du couple Barnes-Orzak et se rendirent au bar de Patrick.
—–*—–
Tandis que Michael et Stanley jouaient à leur jeu vidéo, mademoiselle Barnes était toujours couchée sur le lit de cette chambre du manoir Lancaster, avec les jambes écartées, le visage larmoyant, et beaucoup de difficultés à retenir les gémissements d’un corps qui ne voulait plus lui obéir. Pendant ce temps, Morgan, qui avait finalement décidé de retirer le vibromasseur du vagin de Natacha, l’avait remplacé par ses propres doigts. Le vieil homme doigtait donc son acquisition tandis qu’il léchait délicatement son clitoris.
Au bout de quelques minutes, et ce tandis qu’elle avait toujours les yeux fermés, Morgan retira ses doigts du vagin de Natacha et arrêta également de lui faire un cunnilingus. Il s’avança ensuite légèrement, prêt à insérer son pénis en elle. Mademoiselle Barnes, qui ouvrit un peu ses yeux afin de voir ce qu’il tramait, se rendit compte de l’acte qu’il s’apprêtait à commettre. Elle essaya alors de lui dire d’enfiler un préservatif, mais ne fut malheureusement pas assez rapide pour le faire.
- Ne me dis pas ce que je dois faire. Tu n’as aucun droit ici, rétorqua Simon alors qu’il venait de s’introduire en elle.
Tandis que monsieur Morgan se faisait plaisir avec son corps ; la baisant, suçant également ses seins, et mordant ses tétons ; le moral de Natacha était au plus bas. Elle était consciente qu’elle faisait tout ceci pour son bien et celui de ses proches, mais cette situation était trop dure à supporter. Le vieil homme était carrément rentré en elle sans porter la moindre protection et à cause de ça, elle risquait de tomber enceinte ou d’attraper une maladie. Ce n’était vraiment pas quelque chose qu’elle pouvait se permettre en ce moment.
Heureusement pour mademoiselle Barnes, si tant est que l’on pût considérer cela comme une bonne nouvelle, Simon accéléra brusquement sa cadence avant de se crisper et d’éjaculer en elle cinq minutes plus tard. Il s’effondra ensuite sur elle, respirant telle une personne qui avait couru un marathon. Si la situation n’avait pas été aussi difficile et grave pour elle, Natacha se serait immédiatement moquée des pathétiques performances de ce vieil homme de 65 ans. Un problème se posait néanmoins. Monsieur Morgan était littéralement couché sur elle et manquait de s’endormir d’un instant à l’autre. Il fallait donc qu’elle le bouge de là.
- Si vous avez fini, pouvez-vous vous retirer ? demanda-t-elle.
- Qui t’a dit que j’avais fini ? Je fais juste une petite pause de quelques minutes, répondit-il entre deux inspirations et expirations.
Cette réponse ennuya énormément mademoiselle Barnes. Elle savait pertinemment que sa « petite pause de quelques minutes » se transformerait sans doute en une phase de sommeil de plusieurs dizaines de minutes. Elle essaya donc de le faire rouler, chose que Simon n’apprécia guère.
- Qu’est-ce que tu viens de faire au juste ? rétorqua-t-il avec un soupçon de colère dans le ton de sa voix.
Craignant sa réaction, Natacha ne répondit pas à sa question, ce qui l’énerva encore plus. Oubliant donc la promesse qu’il avait fait à Herman Invictus, Simon gifla mademoiselle Barnes tout en réitérant sa question.
- Rien ! Je ne fais rien, répondit Natacha.
- Je t’ai dit que je faisais une pause de quelques minutes ! De quel droit tu te permets d’essayer de me faire rouler ! Les négresses pauvres et stupides comme toi devraient uniquement se contenter d’obéir aux ordres et rien d’autre !
Ne sachant pas quelles seraient les conséquences si elle venait à riposter et ne voulant pas le savoir, mademoiselle Barnes s’excusa, et ce malgré la nouvelle gifle qu’elle venait de se prendre et les propos qu’il venait de tenir. Simon voulut la gifler une fois de plus, mais se souvint finalement de la promesse qu’il avait faite à son patron. Il descendit donc du lit et se dirigea vers l’armoire où il saisit un fouet.
- Il est vraiment temps que je te remette à ta place, dit-il.
S’il ne pouvait pas se servir de ses mains pour corriger cette femme insolente, alors il utiliserait d’autres moyens bien que moins efficaces.
A suivre !!!