Venant d’arriver au bar de Patrick, Michael et Stanley allèrent immédiatement s’asseoir au comptoir avant de commander leur marque de bière habituelle. Tandis qu’il leur apportait leur boisson, l’homme remarqua que le fiancé de mademoiselle Barnes n’avait pas l’air dans son état normal, lui demandant par la suite ce qui n’allait pas.
- Trop de choses, mec. Beaucoup trop de choses ne vont pas en ce moment, répondit-il.
Il poursuivit en lui disant que les dernières 24 heures avaient été un véritable enfer pour lui surtout au niveau de sa relation avec sa fiancée.
- Pour faire simple, je me suis disputé avec Natacha hier et quand je me suis levé ce matin, je découvre que mademoiselle s’en est allée chez sa mère en laissant derrière elle une putain de lettre. Mais bordel, elle se croit dans un putain de film à l’eau de rose ou quoi ?
Il était clair que Michael avait encore du mal à digérer le brusque départ de sa fiancée. Néanmoins, après que Patrick se soit brièvement exprimé sur sa situation, il lui dit qu’il ne comprenait absolument pas ce qui s’était passé.
- Tout ce que j’ai fait était de la défendre auprès de son patron…Voilà ce qu’on récolte en prenant la défense d’une femme, rétorqua le jeune homme entre deux gorgées de bière.
Patrick et Stanley échangèrent des regards emplis d’inquiétude vis-à-vis de leur ami. Les deux craignaient que cette situation risque au long terme de conduire à la fin de leur relation, ce qui n’était bien évidemment pas une bonne chose.
- Dis Michael, as-tu tenté de rentrer en contact avec elle depuis son départ ? Dans ce genre de situation, je pense que si vous parvenez à discuter dans un cadre assez calme, vous serez à mesure de régler votre problème.
Après avoir écouté sa question, le jeune homme prit une nouvelle gorgée de son breuvage avant de lui répondre qu’il avait essayé à de nombreuses reprises de joindre Natacha sans succès. Il était même passé par sa meilleure amie, Enola, et cette dernière s’était également retrouvée dans l’incapacité de rentrer en contact avec elle.
- Elle a sûrement dû éteindre son téléphone et le déposer quelque part, dit le barman.
- Sûrement. Quoi qu’il en soit, cette femme sait à quoi elle joue en faisant ça.
À ce moment, Stanley changea de sujet de conversation en demandant à Patrick comment les choses allaient, ce à quoi il répondit que les affaires portaient à merveille avec son afflux quotidien de clients avant de lui retourner sa question.
- Oh, comme dab ! Beaucoup de filles, d’alcool, et une raclée monumentale à un jeu de foot, dit-il.
Lorsque le fiancé de mademoiselle Barnes entendit les termes « raclée monumentale » et « jeu de foot », il comprit immédiatement que Stan parlait de lui.
- C’est à cause de tout ce que j’ai en tête depuis hier que tu as pu gagner autant de matchs aujourd’hui. Si ça n’avait pas été à cause de ça, je suis sûr que les choses auraient été totalement différentes, rétorqua-t-il par la suite.
- Si tu tiens à t’en convaincre, c’est toi qui vois. Ça ne change rien au fait que tu te sois pris une défaite sans non aujourd’hui.
Les deux hommes se mirent alors à se disputer sur l’issu de leurs matchs si l’esprit de Michael n’avait pas été préoccupé par tout ce qui concernait Natacha, tout ceci sous le regard d’un barman qui se disait que ces deux personnes étaient très particulières.
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Pendant que Michael et Stanley se disputaient à propos de leurs parties de jeu vidéo, une des chambres du manoir Lancaster se remplissait des cris de mademoiselle Barnes. En effet, après que cette dernière ait essayé de faire rouler Simon sur le côté, ce dernier avait décidé de la punir en conséquence. Pour se faire, il s’était procuré un fouet dans l’armoire et avait ordonné à la jeune femme de retourner avant de se mettre à la frapper. Coup après coup, le fouet du vieil homme rentrait en contact avec le dos de Natacha, la faisait ainsi hurler de douleur à chaque fois.
- Plus jamais… ! Plus jamais tu…ne prendras d’initiative…sans que je ne t’en aies donné l’ordre ! Me suis-je…bien fait comprendre ? dit-il entre chacun de ses coups.
- Je le ferai plus ! rétorqua la jeune femme à plusieurs reprises.
Mademoiselle Barnes avait beau répéter qu’elle ne prendrait plus d’initiative, le vieil homme ne cessa pas de la frapper avec le fouet. À vrai dire, plus il le faisait et plus il était excité. Dans sa tête, il se disait que c’était ainsi que les femmes devaient être traitées. Pour lui, leur seul et unique rôle était d’obéir aux ordres du sexe fort, à savoir les hommes. Elle n’avait aucun droit de protester et devait juste obéir.
Alors que ses coups devenaient de plus en plus forts et que les rougeurs sur le dos de Natacha s’accentuaient progressivement, monsieur Morgan s’arrêta brusquement. Il venait en effet de se souvenir de la promesse qu’il avait fait à son ami, Herman Invictus. Cette réminiscence lui gâcha instantanément son plaisir, d’autant plus qu’il avait l’impression que ce dernier lui avait fait promettre cela parce qu’il s’attendait à ce qu’un moment comme celui-ci se produise.
Après avoir réfléchi sur la question de savoir s’il devait continuer ou pas de la frapper, Simon Morgan prit finalement la décision de poursuivre ce qu’il faisait. Pour lui, non seulement cette femme méritait une correction pour avoir refusé son offre et pour avoir tenté de le faire rouler sur le côté, mais aucune autre personne hormis lui-même n’avait le droit de lui dire comment il devait se comporter avec d’autres individus. Herman Invictus n’était pas son patron. Bien au contraire, s’il y avait une personne parmi eux deux qui devaient s’agenouiller devant l’autre, c’était bel et bien le patron de Natacha, car après tout, ses finances passaient quotidiennement entre ses mains. Les coups de fouet reprirent donc, ainsi que les hurlements de la jeune femme.
Cinq minutes plus tard, Simon lâcha son fouet et grimpa de nouveau sur Natacha. Pendant qu’il la frappait, son regard s’était posé sur son joli petit cul. Il avait envie de le pénétrer et n’allait pas se gêner de le faire. Il attrapa donc chacune de ses fesses, ce qui fit instantanément réagir la jeune femme.
- Non ! Non, pas ça, s’exclama-t-elle.
Mademoiselle Barnes sut exactement ce qu’il voulait faire et essaya donc de l’en empêcher. Elle n’avait pas envie de revivre cette expérience, du moins pas après ce qui s’était passé dans cette chambre d’hôtel avec son patron. Malheureusement, Simon Morgan ne l’entendait pas de cette oreille. Lorsqu’il avait une idée en tête, il faisait généralement tout pour la réaliser. Et à ce moment précis, ce qu’il voulait était de pénétrer le joli petit cul de Natacha Barnes. Il s’énerva cependant lorsqu’elle lui dit de ne pas le faire, ce à quoi il répondit en lui donnant d’abord une gifle assez violente sur une de ses fesses.
- Ton seul rôle ici est d’obéir et rien d’autre ! rétorqua le vieil homme au même moment.
Simon écarta de nouveau le cul de la jeune femme afin de mieux voir son anus. Il le trouva alors très attractif, assez pour lui donner l’envie d’y insérer immédiatement son pénis. D’ailleurs, il ne perdit pas la moindre seconde et pénétra Natacha quelques instants plus tard. Cette dernière se mit par conséquent à hurler de douleur.
C’était de nouveau comme à l’hôtel. Non, c’était pire que ça. La fiancée de Michael Orzak, qui n’aimait pas la pénétration anale depuis sa précédente expérience avec son patron, revivait présentement la même chose à la différence que c’était beaucoup plus humiliant à cause de tout ce qui avait conduit jusqu’à ce moment fatidique. Elle avait beau essayer de se montrer forte, ce qu’elle ressentait lorsque ce vieil homme s’enfonçait plus profondément en elle était extrêmement dur à supporter. Elle hurlait et pleurait de douleur devant ce qu’on lui faisait.
De son côté, monsieur Morgan appréciait énormément la situation dans son ensemble. Non seulement c’était très agréable pour lui de se retrouver dans le cul de la jeune femme, mais ses hurlements et ses pleurs lui conféraient également un indescriptible sentiment de puissance. Il n’avait clairement pas envie que cela s’arrête, d’autant plus que l’intérieur de Natacha était chaud et étroit. C’était comme si une sorte de ventouse s’était entourée autour de son pénis et voulait l’aspirer chaque fois qu’il faisait un mouvement.
À peu près minutes plus tard, alors que son corps se balançait au rythme des mouvements de va-et-vient de Simon Morgan, que ses hurlements de douleur étaient moins prononcés, et qu’elle agrippait fermement les draps et serrait également les dents pour l’aide à supporter la douleur, mademoiselle Barnes ne souhaitait qu’une seule et unique chose : que toute cette histoire s’arrête. Elle en avait plus qu’assez d’êtres l’objet sexuel de ce vieil homme proche de la mort. Elle en avait plus qu’assez de cette maudite séance de dégustation où des gens vendaient leur corps aux enchères pour de l’argent. Et elle en avait définitivement plus qu’assez de son patron, Herman Invictus, sans qui tout ceci ne lui serait jamais arrivé. La rancune qu’elle éprouvait envers toutes ces personnes et leur façon d’agir commençait à prendre une certaine ampleur dans son cœur.
Peu de temps après, Simon accéléra brusquement sa cadence, ce qui dit à mademoiselle Barnes qu’il était à nouveau sur le point de jouir en elle. Si ce n’était pas à cause de la douleur et à cause de ses précédentes réactions, Natacha se serait sans aucun doute moquée de ses médiocres performances sexuelles. Quoi qu’il en soit, c’était une très bonne nouvelle pour la jeune femme qui espérait alors qu’il n’y ait pas de troisième round.
Venant de jouir à l’intérieur de Natacha, le vieil homme ne se retira pas immédiatement. Comme il se sentait bien dans son cul, il décida d’y rester jusqu’à ce que son érection s’en aille. Bien évidemment, cela n’était pas du goût de mademoiselle Barnes qui devait non seulement attendre qu’il se retire, mais était également obligée de supporter son poids sur elle pendant tout ce temps. Ce fut durant cette période d’attente que Simon lui dit à quel point elle sentait bon, ce qui était un compliment dont elle aurait bien voulu se passer.
- Ton corps est tellement agréable et tellement doux. J’aimerais te baiser et t’enculer encore et encore jusqu’à ce que je perde tous mes moyens. Tu sais, ma proposition tient toujours. Si tu viens travailler pour moi, ta vie sera beaucoup mieux que ce qu’elle est en ce moment. Tout ce que je demande est que tu prennes soin de moi comme tu viens de le faire. Alors, qu’en penses-tu ? poursuivit-il.
Même à ce moment, le vieil homme essayait encore de la recruter et cette fois-ci, il avait été beaucoup plus clair sur ses intentions. Néanmoins, la réponse de Natacha était toujours la même. Elle n’avait nullement envie de se retrouver aux côtés de cet homme plus que nécessaire. Tout ce qui l’importait était d’en finir avec tout ça et de retrouver une vie normale, du moins elle l’espérait.
- Non, ça ne m’intéresse pas, rétorqua-t-elle par la suite.
Cette réponse ne plut bien évidemment pas au banquier qui s’offusqua et se demanda comment elle osait lui dire « non » après tout ce qu’il venait de faire pour elle. Avait-elle la moindre idée du nombre de femmes qui lui auraient volontiers vendu leur corps afin qu’il améliore leurs conditions de vie ? Cette femme ne savait définitivement pas ce qu’elle ratait. Cependant, monsieur Morgan ne comptait pas lâcher l’affaire. Il voulait avoir Natacha Barnes dans sa collection et il ne reculerait donc devant rien ni personne pour l’obtenir, pas même devant son ami Herman Invictus.
Le vieil homme se retira finalement de Natacha qui se dit alors que cette mauvaise phase était sur le point de s’achever. C’était cependant sans compter sur la ténacité du banquier qui n’avait pas encore fini avec elle. En effet, il voulait encore profiter de son corps, la pénétrer et jouir dans tous les orifices possibles jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Il venait de le faire dans son vagin et dans son cul, il ne restait plus que sa bouche qui n’avait pas encore eu l’honneur de recevoir sa délicieuse et enrichissante semence.
De ce fait, après être descendu du lit, Simon attrapa soudainement les cheveux de la fiancée de Michael Orzak avant de la forcer à descendre à son tour du lit.
- Viens par ici, dit-il en même temps.
Quelques instants plus tard, tandis qu’elle était désormais à genoux devant lui, Natacha tomba des nues lorsque monsieur Morgan lui ordonna de lui faire une nouvelle fellation. Non seulement elle pensa que le vieil homme en avait eu pour son compte et que ce serait la fin cet horrible calvaire, mais elle était dès à présent beaucoup plus dégoûtée par la tâche qu’elle devait accomplir. Il fallait dire que le sexe de la personne devant elle avait été dans une partie pas très hygiénique de son anatomie. De ce fait, elle était beaucoup plus hésitante à s’exécuter. À vrai dire, elle ne voulait pas le faire du tout.
- Qu’est-ce que tu attends pour le mettre dans ta bouche ? rétorqua de nouveau le vieil homme qui commençait à s’impatienter.
Ne voulant pas se prendre des coups comme précédemment, la jeune femme n’eut d’autre choix que de mettre cette chose dans sa bouche. Ce fut donc avec les yeux fermés et larmoyants, et une énorme envie de vomir qu’elle refoulait de toutes ses forces que Natacha Barnes se mit à sucer le pénis du vieil homme. Le dégoût s’accentua lorsque mademoiselle Barnes se rendit compte de la présence de sperme dans sa bouche.
- Oui, c’est ça. Ne t’arrête surtout pas.
Comment pouvait-elle s’arrêter ? Même si elle le voulait, elle était certaine de s’attirer les foudres du banquier. Tout ce qu’elle pouvait donc faire était de réaliser ses moindres fantasmes. Vivement que cela cesse au plus vite.
A suivre !!!